blogs.fr: Blog multimédia 100% facile et gratuit

anastasia

Blog multimédia 100% facile et gratuit

 

BLOGS

Blog dans la catégorie :
Moi

 

Statistiques

 




Signaler un contenu illicite

 

anastasia

Le Temps

Le 26/02/2018

C'est quoi exactement ? On le croit long ou court selon les circonstances dans lesquelles le destin s'est amusé à vous plonger...On le dit plat, ondulant, carrément inexistant. Ce serait une illusion, un accommodement que nous inventons pour comprendre l'incompréhensible, la vie et tout le reste.
Mais je vous assure, quand vous êtes dans le concret, souffrance ou joie, vous le sentez vachement. Des bouffées de vertigo, des envies d'ailleurs ou de néant. Il vous grille les méninges, il vous bouffe vite fait. Et avec ça allez me dire qu'il n'existe pas !

 

Persona non grata

Le 25/02/2018

On a beau se dire qu'on saura dignement supporter la douleur, ce n'est pas donné à tout le monde....
Franchement j'avais une meilleure opinion de moi-même. Que faire quand elle se faufile insidieusement à tout moment et vous squatte le cerveau jusqu'à le rendre idiot ? De surcroît elle préfère la nuit, cela tombe mal, moi aussi. Et nous voilà compagnes ennemies à broyer nos doutes, nos souffrances ( enfin, j'exagère un peu, sinon trop) dans ce No man's land que sont les hôpitaux.
Pareil à un aéroport on est nulle part tout en se préparant pour un ailleurs plein de promesses mystérieuses et évidemment jamais assouvies. On flotte en quelque sorte entre un réel assez contraignant et la certitude illusoire d'un espace atemporel, protégé. En dehors de vos souffrances vraies ou imaginaires rien n'existe plus. On ne sait ni d'où on vient ni ce que nous attend. Le comble, cela nous est indiffèrent. Déjà morte, ou une petite répétition pour nous habituer à l'au-delà ?
De temps en temps, la vie, la vraie pointe son appel vigoureux, alors bonjour une bonne, solide angoisse. Mais le staff de l'establishment nous rappelle à nos gamelles. Reparties pour un tour, douleurs comme bonus. On s'y fait et plus vite qu'on ne pense. D'ailleurs, je l'ai dit, on ne pense plus, gentillement redevenues robots anonymes. Par où la sortie s'il vous plaît ?

 

Gardiens du Temple

Le 17/02/2018

Que ces Messieurs Dames soient mus par des sentiments variés dont certains honorables, ne change rien à notre déception. Eh oui, on tombe de haut mes amis. Personnellement je crois que le temps est la clé... Le rockeur encore non refroidi dans son lit éternel on déballe tout. Le temps presse. Les rouages des montages que certains croyaient habiles s'étant mis en mouvement, fallait réagir et vite. C'est fait. Et tant pis pour le feuilleton, chaque jour on réécrit le scénario.
Quant au mythe et autres balivernes, circulez, on vous donne à voir ce qu'on a, fermez vos clapets !

Sans rapport, quoique ....
On pleure une fillette bien mignonne, on crache sur son assassin. C'est bien. Se pose-t-ton seulement la question : que faisait une gamine à 3 heures du matin à un mariage ? Les parents où étaient-ils ? Encore cette interrogation : est-on encore responsable de quelque chose ou de quelqu'un ? Le normal est l'anormal s'entrecroisent à nous donner le tournis ?
Allez, allumez des bougies, déposez des fleurs, c'est déjà ça !

 

Dieu dans sa loge impériale

Le 16/02/2018

Sans conteste possible, le mieux placé pour une franche rigolade ! Il suffit d'avoir le temps et le temps Dieu en a ! C'est d'ailleurs ce qu'il a en priorité... pour contempler notre bêtise, surtout le ridicule qui va avec.
La bataille aux oeufs pourris que se livre les héritiers de notre Johnny qui par la même occasion ne s'est pas avéré si national que cela est un tableau parfait du ridicule dont je parlais plus haut. Les masques ne tombent plus, ils sont tout simplement interchangeables. Preuve par mille qu'ici bas on contrôle que dale !
Cela doit bien faire rigoler là haut !

 

Les copains d'abord...

Le 19/01/2018

Je crois qu'à l'heure du bilan (de vie, ou ce qu'il en reste) en jetant un regard en arrière il est bon de compter ses amis.
Par tranche d'âge, le mien bien entendu !
Jeune, j'en avais plein ! Pas étonnant, on avait de quoi faire et les atouts étaient forcément autres.
Plus tard cela changea de profil et de nombres. Normal, on était passé des fous rires et galipettes aux dîners plus ou moins animés (et bons d'ailleurs).
Là, en presque hiver de ma vie (qui sait ? cela peut être long ou court mais sûrement pas marrant) j'ai cessé de les compter. Pour cause. Devinez !

 

Minibluff the card game

Hotels