anastasia
Répondre avec retard
Le 31/07/2020
À un ami voulant avec tendresse me donner une leçon de philosophie sur la mort. Il m'informait qu'un ami à lui considérait qu'il y a deux moments vraiment importants dans la vie : la naissance et la mort.
Je lui demande des tardives excuses mais cette affirmation frise le déjà entendu, elle n'est pas à mon humble avis d'un grand intérêt. Oublions la naissance dont personne n'a un souvenir même vague. Pour ma part l'évènement en soi ne m'a rien apporté parce qu'ignoré. La mort, j'en sais fichtrement rien, on ne meurt qu'une fois ! Comme expérience c'est mince. Je présume qu'il pensait à ce qui précède et qu'on ne peut pas appeler la mort.
La mort est une fulgurance, un éclair dans un orage ! Perceptible ? Qui le sait ?
Souvent c'est une maladie qui nous mobilise toutes nos forces et certainement notre esprit. On évite de penser au pire, on est fait ainsi. Salvador Dali, interrogé sur sa peur de la mort avait répondu : bien sûr que j'ai peur mais je crois qu'au dernier moment ça va s'arranger !
D'habitude on analyse, on étudie, on philosophe sur la mort quand on la croit assez éloignée... et qu'on est plus ou moins en bonne santé. Et puis je l'ai VU, on ne se rend pas compte du moment exact. S'imaginer qu'on vit cela en pleine conscience est une forme quasi poétique d'envisager l'évènement qu'on veut tous sans exception malgré nos plaintes et nos supplications, plus tardif possible. Pour cela la nature a tout prévu. Le cerveau produit une hormone qui nous sauve de la peur, nous "vole" cette sensation.
Non, ce que je crois important c'est l'approche consciente de l'imminence de notre trépas et ça c'est encore la VIE. On regrette beaucoup, alors beaucoup de choses : ce qu'on a fait, ce qu'on n'a pas fait, ce qu'on a loupé tout en le faisant... Dans ces moments-là la vie prend sa véritable dimension parce qu'on sait que c'est fichu ! On réalise notre impuissance et c'est dur à accepter.
Pour tout cela je crois fermement que le plus important moment c'est la VIE.
Voilà.
Je lui demande des tardives excuses mais cette affirmation frise le déjà entendu, elle n'est pas à mon humble avis d'un grand intérêt. Oublions la naissance dont personne n'a un souvenir même vague. Pour ma part l'évènement en soi ne m'a rien apporté parce qu'ignoré. La mort, j'en sais fichtrement rien, on ne meurt qu'une fois ! Comme expérience c'est mince. Je présume qu'il pensait à ce qui précède et qu'on ne peut pas appeler la mort.
La mort est une fulgurance, un éclair dans un orage ! Perceptible ? Qui le sait ?
Souvent c'est une maladie qui nous mobilise toutes nos forces et certainement notre esprit. On évite de penser au pire, on est fait ainsi. Salvador Dali, interrogé sur sa peur de la mort avait répondu : bien sûr que j'ai peur mais je crois qu'au dernier moment ça va s'arranger !
D'habitude on analyse, on étudie, on philosophe sur la mort quand on la croit assez éloignée... et qu'on est plus ou moins en bonne santé. Et puis je l'ai VU, on ne se rend pas compte du moment exact. S'imaginer qu'on vit cela en pleine conscience est une forme quasi poétique d'envisager l'évènement qu'on veut tous sans exception malgré nos plaintes et nos supplications, plus tardif possible. Pour cela la nature a tout prévu. Le cerveau produit une hormone qui nous sauve de la peur, nous "vole" cette sensation.
Non, ce que je crois important c'est l'approche consciente de l'imminence de notre trépas et ça c'est encore la VIE. On regrette beaucoup, alors beaucoup de choses : ce qu'on a fait, ce qu'on n'a pas fait, ce qu'on a loupé tout en le faisant... Dans ces moments-là la vie prend sa véritable dimension parce qu'on sait que c'est fichu ! On réalise notre impuissance et c'est dur à accepter.
Pour tout cela je crois fermement que le plus important moment c'est la VIE.
Voilà.
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Finalement
Le 03/07/2020
Me voilà "chez moi"....Entourée de champs labourés, de fleurs, d'arbres , d' oiseaux, lézards, musareignes et autres créatures qui oh ! merveille ont survecu plutôt bien en mon absence prolongée. Arrivée au coucher de soleil de ces couchers qui vous percent les yeux par sa beauté sans que vous la lui demandiez ( elle s'en fiche vraiment). Elle vous berce l'âme et vous reconcilie avec tout. Elle a au plus haut degrée le don de l'oubli. Vous vous perdez dedans sans savoir si vous êtes morte ou vivante. Vous êtes, c'est tout.
Décrire les couleurs ? Je n'en saurais point. Il y a tant de nuances et l'agencement est si sublime qu'il vaut mieux rester coit.
Je ne peux pas m'empécher de penser que toutes ces couleurs réunies (vous vous rappelez l'école ? mais si, le disque de Newton !?) si on les mélange cela donne....du blanc ! Seule couleur à être bannie de nos jours, ellle n'a plus la cote. Et pourtant elle est la somme de toutes. Une non-couleur comme le noir d'ailleurs. Le blanc les récompose, le noir les absorbe. Ironique, non ? C'est de la physique, une des sciences et non " la science" nommée par les couettes viking. Serions-nous devenus aveugles, amnésiques et lâches ? Pressés comme un citron pour rendre tout ce qu'il nous reste de jugement, simplement de bon sens ? Coquille vide et repentante par dessus le marché ?
Non, je ne me sens coupable d'aucune forfaiture, j'ai eu comme beaucoup mon lot d'injustices, d'insultes et de mépris. Le chemin de la vie est ainsi fait. Il n'est pas conçu pour se retourner sur ses pas. Le passé ne m'appartient aucunement. Je n'en suis ni participante ni responsable. Le futur par contre, je peux encore agir dessus. Pas beaucoup. En attendant j'essaie de comprendre, j'essaie de tempérer, de passer par un tamis séléctif ce que je vois et j'entends. Mais les bornes du compréhensible s'éloignent de plus en plus et le Maître auquel je ne veux plus me soumettre pour avoir connu ses méfaits terribles c'est l'Absurde qu'on provoque sciemment.
Le Risible serait supportable mais très souvent il se fourvoie sur des terrains où tout devient possible, de l'injustice jusqu'au crime.
De loin, je préfère les couchers de soleil. Il y a aussi du blanc dedans et même si on accélère bien le mouvement (vous savez ? Newton!) il n'y a que ça. L'union de toutes les couleurs. Ça mérite une petite reflexion, non ?
Décrire les couleurs ? Je n'en saurais point. Il y a tant de nuances et l'agencement est si sublime qu'il vaut mieux rester coit.
Je ne peux pas m'empécher de penser que toutes ces couleurs réunies (vous vous rappelez l'école ? mais si, le disque de Newton !?) si on les mélange cela donne....du blanc ! Seule couleur à être bannie de nos jours, ellle n'a plus la cote. Et pourtant elle est la somme de toutes. Une non-couleur comme le noir d'ailleurs. Le blanc les récompose, le noir les absorbe. Ironique, non ? C'est de la physique, une des sciences et non " la science" nommée par les couettes viking. Serions-nous devenus aveugles, amnésiques et lâches ? Pressés comme un citron pour rendre tout ce qu'il nous reste de jugement, simplement de bon sens ? Coquille vide et repentante par dessus le marché ?
Non, je ne me sens coupable d'aucune forfaiture, j'ai eu comme beaucoup mon lot d'injustices, d'insultes et de mépris. Le chemin de la vie est ainsi fait. Il n'est pas conçu pour se retourner sur ses pas. Le passé ne m'appartient aucunement. Je n'en suis ni participante ni responsable. Le futur par contre, je peux encore agir dessus. Pas beaucoup. En attendant j'essaie de comprendre, j'essaie de tempérer, de passer par un tamis séléctif ce que je vois et j'entends. Mais les bornes du compréhensible s'éloignent de plus en plus et le Maître auquel je ne veux plus me soumettre pour avoir connu ses méfaits terribles c'est l'Absurde qu'on provoque sciemment.
Le Risible serait supportable mais très souvent il se fourvoie sur des terrains où tout devient possible, de l'injustice jusqu'au crime.
De loin, je préfère les couchers de soleil. Il y a aussi du blanc dedans et même si on accélère bien le mouvement (vous savez ? Newton!) il n'y a que ça. L'union de toutes les couleurs. Ça mérite une petite reflexion, non ?
Des nouvelles de Greta
Le 30/06/2020
Non, non, non, pas celle à laquelle vous pensez ! Pas de couettes tirées vers des abîmes obscurs, pas d'idées farfelues sorties du four idéologique dont on soupe depuis que la jeunesse - bien décidée de jeter aux orties enseignement et enseignants- a pris les rennes pour nous guider dans la seule direction où on doit envoyer nos regards, nos jugements, nos actions. Faut impérativement oublier de penser par soi-même, sinon on est banni de partout. Pas de place sur la planète pour les vrais spécialistes, les chercheurs, bref pour ceux qui s'esquintent toute une vie à apprendre, à expérimenter, à douter et avoir le courage de recommencer. Les sus mentionnées couettes ont la "science" globale, irréfutable et déjà conquérante. On nous a mis au pas, cela me rappelle des sombres moments de l'Histoire. D'ailleurs pas si éloignés que ça... Interdit de provoquer un débat, d'émettre des doutes, d'ouvrir les oreilles aux chants d'autres oiseaux !
Non. Je veux vous parler de Greta que j'ai rencontré dans les rues de Loncronan, se baladant en toute liberté, faisant ami avec tout le monde. Toute à sa joie de vivre dans un coin de Bretagne qui resiste inchangé du moins je l'espère. Greta est un danois pesant 50 kilos, une chienne avec propriétaire mais toujours en vadrouille sans aucune contrainte ni interdit. Bref, oui, cela existe une Greta heureuse qui partage volontiers le village, la nature, sa joie d'être vivante et libre.Sans rien vouloir changer. Elle a plein d'amis, pas d'adeptes !
Cela existe. Pour combien de temps ? Ma Greta, grande philosophe hédoniste, ne se pose pas cette question.
Mais nous ? Posons nous les bonnes questions ?
Non. Je veux vous parler de Greta que j'ai rencontré dans les rues de Loncronan, se baladant en toute liberté, faisant ami avec tout le monde. Toute à sa joie de vivre dans un coin de Bretagne qui resiste inchangé du moins je l'espère. Greta est un danois pesant 50 kilos, une chienne avec propriétaire mais toujours en vadrouille sans aucune contrainte ni interdit. Bref, oui, cela existe une Greta heureuse qui partage volontiers le village, la nature, sa joie d'être vivante et libre.Sans rien vouloir changer. Elle a plein d'amis, pas d'adeptes !
Cela existe. Pour combien de temps ? Ma Greta, grande philosophe hédoniste, ne se pose pas cette question.
Mais nous ? Posons nous les bonnes questions ?
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Duel à l'épée de bois
Le 26/06/2020
Vu à l'instant un débat-vague empoignade- entre deux journalistes/écrivains très politisés....médiatisés et surtout riches ( mais cela est une autre histoire et personnellement je n'ai rien contre)
Chacun a défendu avec plus ou moins ( plutôt moins je trouve) de panache son pré carré. De toute évidence j'ai mon préféré, d'aucuns le trouvent passéiste, réac, que sais-je encore. Il a ses ennemis qui savent argumenter leur désaccord et il y a les brutes qui l'attaquent physiquement. Comme quoi, il y a de tout pour faire un monde....
L'autre pour dire ma vérité me fait pitié. Je connais la vieillesse des anciens beaux avec son lot de regrets, de luttes pour arrêter le temps ou mieux, lui faire marche arrière. C'est pathétique. Le plus surprenant c'est qu'ils tombent presque tous dedans.... Quant à ses idées romantiques, utopiques jusqu'à être dangereuses ( il l'a prouvé, l'enfer est pavé de bonnes intentions...) je les connais pour avoir déjà tremper dedans jusqu'à l'os.. Jouer les héros à la soviétique la poitrine offerte en sacrifice ( il ignore ce modèle et il pousse l'ignorance jusqu'à faire de grosses erreurs de jugement sur le peuple russe et son actuel président). Sa poitrine à lui s'ouvre sur une chemise blanche taillée sur mesure en souvenir du dandy que hélas il ne l'est plus !
Ce n'est point ce qui m'a déplu chez lui. Sous ses airs universalistes j'ai perçu la vieille crainte de ne pas être reconnu comme un homme supérieur de par ses idées et aussi et là est la contradiction, de par son appartenance à un peuple ancien (qui a toute mon admiration affective) qu'il veut faire entrer dans la normalité tout en le voulant différent. Je compatis, je comprends ses milles et une raisons historiques, culturelles, spirituelles. Plus que cela, je me sens redevable. Je suis comme le poussin sorti de ce gigantesque oeuf de culture et de traditions.
.... le poussin aime, veut aimer de toutes ses forces sa matrice nourricière, mais.... se sent mal à l'aise quand on le repousse sèchement. Tant de malentendus, tant de soubresauts de l'histoire n'arrivent pas à changer chez certains individus cette méfiance viscérale qui ressort subrepticement et des fois, sans raison. Je reconnais, des fois oui, des raisons subsistent. Mon Dieu, Notre Dieu, pourquoi ? Ne peut on pas faire rentrer dans l'Histoire, si horrible soit-elle, les souffrances que tant de peuples ont subi et regarder devant ? Hélas, l'Horrible n'est pas sorti de notre présent, il y a de quoi faire pour remplir la vie de plusieurs générations.
Et il me vient de faire une blague, pas inspirée ni originale : mes ancêtres ne sont pas eux non plus descendus des singes...enfin, pas directement. Je crois qu'en tant qu'humanoïdes on peut trouver d'équivalence dans d'anciennes cultures assez avancées. Bref, moi je ne me perçois ni meilleure, ni différente. Pourtant, très mais très rarement on m'a relégué chez " les autres". Heureusement je n'en retiens aucun ombrage. Je trouve cela juste, qu'un peuple si uni défend farouchement son identité. Établir à tout prix une hiérarchie immuable, c'est certainement un objet de réflexion, les bibliothèques regorgent de publications foisonantes d'explications sans pour autant nous éclairer là dessus. Ignorer complétement le spécifique de chaque groupe d'individus est une autre chausse-trappe. On tombe si facilement dedans !
L'émission m'a déçue, point. Trop de vociférations, on sentait de vieilles rancoeurs non-dites qu'on essayait maladroitement de régler en une heure. Moment cocasse, le dandy si soucieux d'habitude de sa marque de fabrique, c'était si époumoné en plaidant pour ses utopies qu'il fut obligé de tomber la veste, sa sudation abondante lui embouant le cervelet. Pour un instant il fut touchant et presque beau en pub pour une chemise humide collée à un torse viril ! Même lui a goûté le gentil ridicule qui cassa l'ambiance surchauffée et pesante.
Bref, j aurais voulu que l'émission s'éleva plus haut. Elle frôlat trop les prés germanopratins...
On voit tellement mieux sur les hauteurs.... Si on veut bien y monter.
Chacun a défendu avec plus ou moins ( plutôt moins je trouve) de panache son pré carré. De toute évidence j'ai mon préféré, d'aucuns le trouvent passéiste, réac, que sais-je encore. Il a ses ennemis qui savent argumenter leur désaccord et il y a les brutes qui l'attaquent physiquement. Comme quoi, il y a de tout pour faire un monde....
L'autre pour dire ma vérité me fait pitié. Je connais la vieillesse des anciens beaux avec son lot de regrets, de luttes pour arrêter le temps ou mieux, lui faire marche arrière. C'est pathétique. Le plus surprenant c'est qu'ils tombent presque tous dedans.... Quant à ses idées romantiques, utopiques jusqu'à être dangereuses ( il l'a prouvé, l'enfer est pavé de bonnes intentions...) je les connais pour avoir déjà tremper dedans jusqu'à l'os.. Jouer les héros à la soviétique la poitrine offerte en sacrifice ( il ignore ce modèle et il pousse l'ignorance jusqu'à faire de grosses erreurs de jugement sur le peuple russe et son actuel président). Sa poitrine à lui s'ouvre sur une chemise blanche taillée sur mesure en souvenir du dandy que hélas il ne l'est plus !
Ce n'est point ce qui m'a déplu chez lui. Sous ses airs universalistes j'ai perçu la vieille crainte de ne pas être reconnu comme un homme supérieur de par ses idées et aussi et là est la contradiction, de par son appartenance à un peuple ancien (qui a toute mon admiration affective) qu'il veut faire entrer dans la normalité tout en le voulant différent. Je compatis, je comprends ses milles et une raisons historiques, culturelles, spirituelles. Plus que cela, je me sens redevable. Je suis comme le poussin sorti de ce gigantesque oeuf de culture et de traditions.
.... le poussin aime, veut aimer de toutes ses forces sa matrice nourricière, mais.... se sent mal à l'aise quand on le repousse sèchement. Tant de malentendus, tant de soubresauts de l'histoire n'arrivent pas à changer chez certains individus cette méfiance viscérale qui ressort subrepticement et des fois, sans raison. Je reconnais, des fois oui, des raisons subsistent. Mon Dieu, Notre Dieu, pourquoi ? Ne peut on pas faire rentrer dans l'Histoire, si horrible soit-elle, les souffrances que tant de peuples ont subi et regarder devant ? Hélas, l'Horrible n'est pas sorti de notre présent, il y a de quoi faire pour remplir la vie de plusieurs générations.
Et il me vient de faire une blague, pas inspirée ni originale : mes ancêtres ne sont pas eux non plus descendus des singes...enfin, pas directement. Je crois qu'en tant qu'humanoïdes on peut trouver d'équivalence dans d'anciennes cultures assez avancées. Bref, moi je ne me perçois ni meilleure, ni différente. Pourtant, très mais très rarement on m'a relégué chez " les autres". Heureusement je n'en retiens aucun ombrage. Je trouve cela juste, qu'un peuple si uni défend farouchement son identité. Établir à tout prix une hiérarchie immuable, c'est certainement un objet de réflexion, les bibliothèques regorgent de publications foisonantes d'explications sans pour autant nous éclairer là dessus. Ignorer complétement le spécifique de chaque groupe d'individus est une autre chausse-trappe. On tombe si facilement dedans !
L'émission m'a déçue, point. Trop de vociférations, on sentait de vieilles rancoeurs non-dites qu'on essayait maladroitement de régler en une heure. Moment cocasse, le dandy si soucieux d'habitude de sa marque de fabrique, c'était si époumoné en plaidant pour ses utopies qu'il fut obligé de tomber la veste, sa sudation abondante lui embouant le cervelet. Pour un instant il fut touchant et presque beau en pub pour une chemise humide collée à un torse viril ! Même lui a goûté le gentil ridicule qui cassa l'ambiance surchauffée et pesante.
Bref, j aurais voulu que l'émission s'éleva plus haut. Elle frôlat trop les prés germanopratins...
On voit tellement mieux sur les hauteurs.... Si on veut bien y monter.
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Un bonimenteur de plus
Le 26/06/2020
Comme s'il n'y avait pas assez ....
Bon, l'été est là, le soleil est là, les kilos en trop aussi !
Et figurez vous qu'un médecin qui devrait nous protéger des escrocs en tous genres fait une pub éhontée et omniprésente pour un produit sensé nous faire maigrir en une nuit !
Ou il croit au Père Noël ou il nous prend pour des imbéciles. Alors, vous, votre opinion ?
Moi je sais, il n'a jamais assez de fric celui-là !
Bon, l'été est là, le soleil est là, les kilos en trop aussi !
Et figurez vous qu'un médecin qui devrait nous protéger des escrocs en tous genres fait une pub éhontée et omniprésente pour un produit sensé nous faire maigrir en une nuit !
Ou il croit au Père Noël ou il nous prend pour des imbéciles. Alors, vous, votre opinion ?
Moi je sais, il n'a jamais assez de fric celui-là !
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bravos !!!