anastasia
J'en perds mon latin
Le 27/09/2020
et pas que lui....
Mon tout petit cerveau n'arrive pas à intégrer le monde qui tourne autour....On est parti d'où pour en arriver là ? Ce n'est pas encore la rubrique des chiens écrasés mais on s'en approche...Pourquoi la révolte a changé de direction ?. Mon Dieu es-tu celui des autres aussi ? Ou alors on vit dans un panthéon de divinités plutôt féroces qui tirent leurs ouailles à hue et à dia ? De quel coin sombre de notre conscience collective surgissent ces pantins pour remettre de l'ordre, un autre ordre qui n'est pas le mien ? Ni celui du voisin proche ou lointain....
Une immense paupière de frayeur couvre désormais nos jours et nos nuits...Les mots deviennent indécence, l'action a fichu le camp, notre camp... Dans ce vide qu'on laisse derrière, quels démons viendront s'engouffrer ? Enfin, je dis démon mais ce sont pour d'autres des anges. Des anges oui, mais des anges de la mort.
On sait pour qui sonne le glas. Mon temps ici bas est une peau de chagrin, je le sens. Alors ? Pourquoi s'en faire ? Moi je m'en fais pas ! Sacré Maurice (Chevalier au cas où vous l'auriez oublié) !
Mon tout petit cerveau n'arrive pas à intégrer le monde qui tourne autour....On est parti d'où pour en arriver là ? Ce n'est pas encore la rubrique des chiens écrasés mais on s'en approche...Pourquoi la révolte a changé de direction ?. Mon Dieu es-tu celui des autres aussi ? Ou alors on vit dans un panthéon de divinités plutôt féroces qui tirent leurs ouailles à hue et à dia ? De quel coin sombre de notre conscience collective surgissent ces pantins pour remettre de l'ordre, un autre ordre qui n'est pas le mien ? Ni celui du voisin proche ou lointain....
Une immense paupière de frayeur couvre désormais nos jours et nos nuits...Les mots deviennent indécence, l'action a fichu le camp, notre camp... Dans ce vide qu'on laisse derrière, quels démons viendront s'engouffrer ? Enfin, je dis démon mais ce sont pour d'autres des anges. Des anges oui, mais des anges de la mort.
On sait pour qui sonne le glas. Mon temps ici bas est une peau de chagrin, je le sens. Alors ? Pourquoi s'en faire ? Moi je m'en fais pas ! Sacré Maurice (Chevalier au cas où vous l'auriez oublié) !
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Circulez, il n'y a rien à dire....
Le 25/09/2020
Quoique...
Petit préambule : une très bonne émission télé c'est rare. Une jeune femme belle, intelligente, cultivée et qui réussit à tenir la dragée haute à quatre journalistes et non des moindres s'il vous plait, c'est encore plus rare. Je la regarde presque tous les soirs avec admiration pour son courage. Mener une émission à contre courant du politiquement correct pratiquement imposé partout ailleurs, pas une mince affaire. . Eh vlan, une bourde .... Parlant de je ne sais plus quoi elle prononce le nom de Beethoven...bitoven - comme je vous le dis. Bitoven ? Probablement un Anglais croyait-elle en regardant ses fiches.
Ça m'a fichu un coup dans le piédestal où je l'avais juchée.... Enfin, soyons compréhensifs, les mélomanes ne courent pas les rues .... Oublions qu'une partie de la 9e symphonie est l'hymne européen ce que tout journaliste devrait savoir, non ? Oublions que le nom du susnommé est autant connu que celui de Shakespeare mais que peu hélas très peu de gens connaissent ce que ces personnages ont apporté à la culture universelle.
Laissons la jolie demoiselle (ou Madame ?) à son travail, elle le fait brillamment.
D'aucuns -toujours d'outre atlantique nous arrivent ces idées novatrices !?!?- ont tapé fort sur le pauvre Beethoven ( je me demande : là bas ils prononcent Bitoven à cause du double E ?). Il parait que sa musique est pour les élites exclusivement donc à bannir de nos pulsions révolutionnaires. Chose dite chose faite. Par ci par là on déprogramme...dans la foulée on impose la parité (laquelle ? Il y a déjà belle lurette qu'il y a des femmes, des afro-américains, des gens à orientation sexuelle diverse, etc) dans les orchestres. À ça ira ça ira ça ira, les oeuvres beethovenienes ont les suspendra ! À qui le tour ? Si je m'en fiche... rien ne me surprends plus....Je m'attends à ce que mon chien commence à exprimer par écrit ses doléances, c'est pour bientôt, non ?
Petit préambule : une très bonne émission télé c'est rare. Une jeune femme belle, intelligente, cultivée et qui réussit à tenir la dragée haute à quatre journalistes et non des moindres s'il vous plait, c'est encore plus rare. Je la regarde presque tous les soirs avec admiration pour son courage. Mener une émission à contre courant du politiquement correct pratiquement imposé partout ailleurs, pas une mince affaire. . Eh vlan, une bourde .... Parlant de je ne sais plus quoi elle prononce le nom de Beethoven...bitoven - comme je vous le dis. Bitoven ? Probablement un Anglais croyait-elle en regardant ses fiches.
Ça m'a fichu un coup dans le piédestal où je l'avais juchée.... Enfin, soyons compréhensifs, les mélomanes ne courent pas les rues .... Oublions qu'une partie de la 9e symphonie est l'hymne européen ce que tout journaliste devrait savoir, non ? Oublions que le nom du susnommé est autant connu que celui de Shakespeare mais que peu hélas très peu de gens connaissent ce que ces personnages ont apporté à la culture universelle.
Laissons la jolie demoiselle (ou Madame ?) à son travail, elle le fait brillamment.
D'aucuns -toujours d'outre atlantique nous arrivent ces idées novatrices !?!?- ont tapé fort sur le pauvre Beethoven ( je me demande : là bas ils prononcent Bitoven à cause du double E ?). Il parait que sa musique est pour les élites exclusivement donc à bannir de nos pulsions révolutionnaires. Chose dite chose faite. Par ci par là on déprogramme...dans la foulée on impose la parité (laquelle ? Il y a déjà belle lurette qu'il y a des femmes, des afro-américains, des gens à orientation sexuelle diverse, etc) dans les orchestres. À ça ira ça ira ça ira, les oeuvres beethovenienes ont les suspendra ! À qui le tour ? Si je m'en fiche... rien ne me surprends plus....Je m'attends à ce que mon chien commence à exprimer par écrit ses doléances, c'est pour bientôt, non ?
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Dans le sentimental
Le 20/09/2020
Je tombe comme tous les gens d'un certain âge dans une espèce d'une incontinence sentimentale comme disait ma mère en riant avec la lucidité qui ne l'a pas quittée jusqu'au dernier moment...
Le tournoi de Rome -l'échauffement pour le Roland Garros- ne fut pas souriant pour mon chouchou - Rafa. Je l'admets : ce que j'aime par dessus tout chez lui c'est ce qu'aiment toutes les vieilles dames. Je confirme sans rougir : sa bonne éducation, sa modestie innée, sa ténue irréprochable dans toute circonstance. Ce que j'avoue moins c'est l'admiration pour son physique et Dieu seul sait ce que cela coûte pour l'avoir et le maintenir...
Je vois en lui la jeunesse, la peau qui brille sous un bronzage parfait, les dents blanchis à la javel, son maintien de lutteur de grande classe... Bref, j'essaye de vivre par procuration ce rayonnement, ce court moment où on peut jouir de la vie en pleine inconscience
En le voyant perdre à Rome j'ai eu un pincement au cœur .. tout doucement sa jeunesse prend son envol vers d'autres champions.... C'est pas pour demain je l'espère mais l'après-demain qui sait ?... Un petit répit....
Et moi alors, vers qui ira battre mon cœur ? Va, ce n'est pas la jeunesse qui disparaît, elle mute c'est tout. Je compte bien que ce sera pareil pour moi. Je ne vais pas disparaître, je vais muter, voilà !
Le tournoi de Rome -l'échauffement pour le Roland Garros- ne fut pas souriant pour mon chouchou - Rafa. Je l'admets : ce que j'aime par dessus tout chez lui c'est ce qu'aiment toutes les vieilles dames. Je confirme sans rougir : sa bonne éducation, sa modestie innée, sa ténue irréprochable dans toute circonstance. Ce que j'avoue moins c'est l'admiration pour son physique et Dieu seul sait ce que cela coûte pour l'avoir et le maintenir...
Je vois en lui la jeunesse, la peau qui brille sous un bronzage parfait, les dents blanchis à la javel, son maintien de lutteur de grande classe... Bref, j'essaye de vivre par procuration ce rayonnement, ce court moment où on peut jouir de la vie en pleine inconscience
En le voyant perdre à Rome j'ai eu un pincement au cœur .. tout doucement sa jeunesse prend son envol vers d'autres champions.... C'est pas pour demain je l'espère mais l'après-demain qui sait ?... Un petit répit....
Et moi alors, vers qui ira battre mon cœur ? Va, ce n'est pas la jeunesse qui disparaît, elle mute c'est tout. Je compte bien que ce sera pareil pour moi. Je ne vais pas disparaître, je vais muter, voilà !
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Casquette à l'envers
Le 19/09/2020
Signe de ralliement d'une identité qu'une certaine jeunesse revendique ? Ou tout bêtement un suivi de mode venu d'outre atlantique ? N'empêche, il y en a qui la porte (la casquette) à l'envers, à eux de savoir pourquoi. Le savent-ils ?
Je trouve cela assez moche, en plus je n'en vois pas l'utilité. Le rebord sur la nuque ne protège rien, l'élastique devant écrase les cheveux qui, sous le poids de la canicule n'en demandaient pas tant. Bref, moi, je ne trouve pas de raison valable à cette habitude. Cela bien entendu ne signifie pas qu'il n'y en a pas. L'éternel incompréhension des générations ? Plus que probable.
Néanmoins ça ne me semble pas si futile ni innocent que cela.Tout un monde qui sépare la mode "apache" des bistrots d'antan et les jeunes multiculturels d'aujourd'hui. Les jeans troués qui entre parenthèses coûtent une petite fortune, les fesses pratiquement à l'air sont assez sexy avouons-le. C'est la fraîcheur des ceux qui les portent qui les met en valeur, ça c'est indéniable. Mais la fraîcheur dure peu, malheureusement, à peu près la vie d'un pantalon qu'on porte tous les jours
comme un uniforme, un signe d'appartenance à une tranche d'âge, une petite tranche de vie. Toute petite.... cela passe vite le temps des fleurs.
Mais la casquette à l'envers dans tout cela ? Une autre paire de manches, plus compliquée, n'est-ce pas ? Pensez-y....
Je trouve cela assez moche, en plus je n'en vois pas l'utilité. Le rebord sur la nuque ne protège rien, l'élastique devant écrase les cheveux qui, sous le poids de la canicule n'en demandaient pas tant. Bref, moi, je ne trouve pas de raison valable à cette habitude. Cela bien entendu ne signifie pas qu'il n'y en a pas. L'éternel incompréhension des générations ? Plus que probable.
Néanmoins ça ne me semble pas si futile ni innocent que cela.Tout un monde qui sépare la mode "apache" des bistrots d'antan et les jeunes multiculturels d'aujourd'hui. Les jeans troués qui entre parenthèses coûtent une petite fortune, les fesses pratiquement à l'air sont assez sexy avouons-le. C'est la fraîcheur des ceux qui les portent qui les met en valeur, ça c'est indéniable. Mais la fraîcheur dure peu, malheureusement, à peu près la vie d'un pantalon qu'on porte tous les jours
comme un uniforme, un signe d'appartenance à une tranche d'âge, une petite tranche de vie. Toute petite.... cela passe vite le temps des fleurs.
Mais la casquette à l'envers dans tout cela ? Une autre paire de manches, plus compliquée, n'est-ce pas ? Pensez-y....
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EPOUSTOUFLANTES DÉCISIONS
Le 11/09/2020
Ils ( qui exactement, je voudrais des noms ha ! ha !) ont décidés de nouvelles règles pour accéder aux Oscars - vous savez la statuette qui ressemble à un oncle de je ne sais plus qui..
Loin de moi une prétention quelconque à une connaissance approfondie et compétente pour juger qui et pour quels mérites ont eu droit à la fameuse récompense. Il me semble qu'il est question ici d'autre chose. Encore une fois aucun jugement de ma part, simple constatation : dorénavant les films devront coller au plus près à toutes les réalités, ethniques, particularités sexuelles, physiques et tout cela imposé dans chaque oeuvre sous peine d'exclusion de compétition et surtout d'opprobre publique.
De tous temps cavernes incluses, les artistes ont essayé de dépasser la réalité pour créer des mondes imaginaires insoupçonnés, des rêves, quoi ! Eh bien que nenni, on rentre dans le réalisme le plus brutal, le quotidien, tout ce qu'on essayé de fuir en allant "au spectacle". Je ne nie aucunement le talent et les possibilités infinies d'utiliser un acteur indifférent de son appartenance à une communauté quelle qu'elle soit. Le fait de l'imposer au dessus de tout autre critère ( talent, correspondance au rôle etc ) me parait périlleux. Cela me rappelle une époque précise, une époque que j'ai vécue et qui s'appelait le réalisme socialiste. Heureusement quelques artistes réussissaient par des habiles subterfuges à biaiser avec le système. Souvent à leurs risques et périls. Enfin, triste époque qui n'a laissé pas des chefs d'oeuvres que je sache. Le mur de Berlin est là pour nous le rappeler.
On verra. Le pauvre oncle Oscar en a vu d'autres, peut-être pas aussi radicale. Il faut raison garder, n'est-ce pas ?
Tiens, le maire de Bordeaux a décidé : pas d'arbre (de Noël) mort sur la place publique. Et si on plantait un, bien vivant à la place ? Une idée aussi, non ?
Loin de moi une prétention quelconque à une connaissance approfondie et compétente pour juger qui et pour quels mérites ont eu droit à la fameuse récompense. Il me semble qu'il est question ici d'autre chose. Encore une fois aucun jugement de ma part, simple constatation : dorénavant les films devront coller au plus près à toutes les réalités, ethniques, particularités sexuelles, physiques et tout cela imposé dans chaque oeuvre sous peine d'exclusion de compétition et surtout d'opprobre publique.
De tous temps cavernes incluses, les artistes ont essayé de dépasser la réalité pour créer des mondes imaginaires insoupçonnés, des rêves, quoi ! Eh bien que nenni, on rentre dans le réalisme le plus brutal, le quotidien, tout ce qu'on essayé de fuir en allant "au spectacle". Je ne nie aucunement le talent et les possibilités infinies d'utiliser un acteur indifférent de son appartenance à une communauté quelle qu'elle soit. Le fait de l'imposer au dessus de tout autre critère ( talent, correspondance au rôle etc ) me parait périlleux. Cela me rappelle une époque précise, une époque que j'ai vécue et qui s'appelait le réalisme socialiste. Heureusement quelques artistes réussissaient par des habiles subterfuges à biaiser avec le système. Souvent à leurs risques et périls. Enfin, triste époque qui n'a laissé pas des chefs d'oeuvres que je sache. Le mur de Berlin est là pour nous le rappeler.
On verra. Le pauvre oncle Oscar en a vu d'autres, peut-être pas aussi radicale. Il faut raison garder, n'est-ce pas ?
Tiens, le maire de Bordeaux a décidé : pas d'arbre (de Noël) mort sur la place publique. Et si on plantait un, bien vivant à la place ? Une idée aussi, non ?
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Tout ce que vous dites me semble placé sous le sceau du bon sens. Continuez !