anastasia
La Peur
Le 28/09/2021
M'en parlez pas, je suis championne. L'As des As....pas de quoi se vanter, c'est un sentiment avilissant quoique le plus humain de tous.
Je ne sais pas ce qui m'a pris, soudain, sans signes avant-coureurs. Je tombe. Souvent et n'importe où.Avec tout ce qui s'en suit : bosses, plaies saignantes, panique inévitable qui est là comme mon ombre. Indécollable.
Vous pouvez croire que j'ai peur de la Mort. J'en suis pas convaincue, ce sera ma première et ultime expérience. Inconnue de surcroit.Non, pour le moment j'ai peur de la souffrance, de son humiliation, de son imminence et de l'impossibilité de l'éviter.
Je me promets tous les jours que je mettrai toutes mes forces pour résister, pour m'en sortir. Et tous les jours je sors vaincue.
Dieu décida il y a longtemps, le jour de ma naissance je suppose du morceau de vie qui me fut octroyer. Basta. Pas de négociation possible. Ferme ton clapet et essaie de moins tomber. C'est tout.
Je ne sais pas ce qui m'a pris, soudain, sans signes avant-coureurs. Je tombe. Souvent et n'importe où.Avec tout ce qui s'en suit : bosses, plaies saignantes, panique inévitable qui est là comme mon ombre. Indécollable.
Vous pouvez croire que j'ai peur de la Mort. J'en suis pas convaincue, ce sera ma première et ultime expérience. Inconnue de surcroit.Non, pour le moment j'ai peur de la souffrance, de son humiliation, de son imminence et de l'impossibilité de l'éviter.
Je me promets tous les jours que je mettrai toutes mes forces pour résister, pour m'en sortir. Et tous les jours je sors vaincue.
Dieu décida il y a longtemps, le jour de ma naissance je suppose du morceau de vie qui me fut octroyer. Basta. Pas de négociation possible. Ferme ton clapet et essaie de moins tomber. C'est tout.
Commentaires textes : Écrire
Amour quand tu nous tiens....
Le 24/09/2021
Il n'a pas de Dieu, du moins ici bas. Et personne ne lave plus blanc que blanc....
Voilà que notre cheval outsider succombe à la crise de la soixantaine.... Que voulez vous ? La jeunesse éblouie l'intelligence la plus bétonnée. Notre Eric pour ne pas le nommer a bien sûr le droit comme tout le monde de cocufier son électorat présumé et dans la foulée sa femme qui pourtant n'a pas une réputation de chiffe molle.
Calmez vous, la terre tournera quand même et le nombre des mariés qui trébuchent restera toujours élevé. Ha ! Ha !
Voilà que notre cheval outsider succombe à la crise de la soixantaine.... Que voulez vous ? La jeunesse éblouie l'intelligence la plus bétonnée. Notre Eric pour ne pas le nommer a bien sûr le droit comme tout le monde de cocufier son électorat présumé et dans la foulée sa femme qui pourtant n'a pas une réputation de chiffe molle.
Calmez vous, la terre tournera quand même et le nombre des mariés qui trébuchent restera toujours élevé. Ha ! Ha !
Commentaires textes : Écrire
Un faux pas?
Le 15/09/2021
Aucune compétence politique, je revendique cela haut et fort. J'a vécu mon enfance et mon adolescence dans un climat schizophrène. Ce qu'on disait à la maison parents et leurs amis était à l'opposé du langage officiel dont on nous gavait avec une certaine brutalité. Conscients qu'on pouvait payer très cher un désobéissance civique quelconque on a grandi dans la peur et la méfiance. On a survécu, nous ne fumes pas les seuls .Côté positif : on est devenus malins, cachotiers, débrouillards.Et biberonnés au savoir intellectuel procuré clandestinement depuis l' Eldorado occidental.
Les leçons de démocratie, venues sur le tard, ont eu du mal à changer ma jugeote de côté. D'abord la triste constatation que "la partie libre du monde" n'a pas levé un pouce pour venger nos vies bousillées. Là-bas les bourreaux d'antan font ripaille sur les cendres qu'ils avait allumées. Ils furent criminels, maintenant ils sont repus.
Bon, disons que c'est loin tout cela. Ancienne réfugiée politique d'il y a un demi siècle je n'ai eu aucun droit, aucune aide, aucune compassion On rame seul. Pour être juste je signale que nous on ne nous a pas demandé de venir. Les immigrés de l’autre côté de la Méditerranée étaient presque chez eux ici. Nous non. On a tenu bon vaille que vaille, mais libres.
Justement c'est cette liberté que j'ai vénérée par dessus tout. Aller/venir à sa guise, dire ce qu'on pense parce qu'on a
appris à penser. À supporter une pensée différente quitte à la combattre par une autre qu'on croit vraie.
Mais les temps changent au gré des influences portées par le courant d'air international, cela aussi je l'ai appris.
Courant qui souffle des virus, des bêtises, des incongruités. Ça balaye fort dans nos croyances, j'aurai jamais imaginé que nos sages dirigeants savent tordre à merveille la direction dans laquelle nous devons regarder. S'engouffrer c'est pour
quand ? Déjà un pan de démocratie on nous est rentré dans le décor.
Je vous le donne en mille : on interdit à x qui est ce qu'il est des actions pour le cas où il deviendrait ce qu'il n'est pas pour le moment. Comprenez-vous le comment du pourquoi ?
Moi, excusez du peu, avec mon expérience ancienne pas oubliée, je subodore l'avenir. Muette, je vous laisse cogiter.
Les leçons de démocratie, venues sur le tard, ont eu du mal à changer ma jugeote de côté. D'abord la triste constatation que "la partie libre du monde" n'a pas levé un pouce pour venger nos vies bousillées. Là-bas les bourreaux d'antan font ripaille sur les cendres qu'ils avait allumées. Ils furent criminels, maintenant ils sont repus.
Bon, disons que c'est loin tout cela. Ancienne réfugiée politique d'il y a un demi siècle je n'ai eu aucun droit, aucune aide, aucune compassion On rame seul. Pour être juste je signale que nous on ne nous a pas demandé de venir. Les immigrés de l’autre côté de la Méditerranée étaient presque chez eux ici. Nous non. On a tenu bon vaille que vaille, mais libres.
Justement c'est cette liberté que j'ai vénérée par dessus tout. Aller/venir à sa guise, dire ce qu'on pense parce qu'on a
appris à penser. À supporter une pensée différente quitte à la combattre par une autre qu'on croit vraie.
Mais les temps changent au gré des influences portées par le courant d'air international, cela aussi je l'ai appris.
Courant qui souffle des virus, des bêtises, des incongruités. Ça balaye fort dans nos croyances, j'aurai jamais imaginé que nos sages dirigeants savent tordre à merveille la direction dans laquelle nous devons regarder. S'engouffrer c'est pour
quand ? Déjà un pan de démocratie on nous est rentré dans le décor.
Je vous le donne en mille : on interdit à x qui est ce qu'il est des actions pour le cas où il deviendrait ce qu'il n'est pas pour le moment. Comprenez-vous le comment du pourquoi ?
Moi, excusez du peu, avec mon expérience ancienne pas oubliée, je subodore l'avenir. Muette, je vous laisse cogiter.
Commentaires textes : Écrire
Dieu
Le 13/09/2021
On sait qu'il a le don ubiquité.... Mais qu'est-ce il a fait comme pagaille avec ça... Je me demande sincèrement ce qu'il fait comme boulot.. Ou alors il délègue le travail aux autres.... Est-ce il fait un choix qui nous dépasse ou il choisit random ces soldats ? On ne le saura jamais, mais on le subit....Dieu ne connait pas la révolte de ses sujets, ? L'ignore-t--il ?
il a l'arme suprême : LA MORT ! Comme on est tous interchangeables,,,
il a l'arme suprême : LA MORT ! Comme on est tous interchangeables,,,
Commentaires textes : Écrire
Vieillir
Le 08/09/2021
SAINTE-BEUVE :vieillir on n'a pas trouver mieux pour rester vivant....
Tout est dit, allons de l'avant et le matin au lever souvenons nous des mots de ce merveilleux Clint (Eastwood) : chaque jour quand je me réveille je ne laisse pas le vieillard rentrer en moi ! Essayez, des fois ça marche !
Tout est dit, allons de l'avant et le matin au lever souvenons nous des mots de ce merveilleux Clint (Eastwood) : chaque jour quand je me réveille je ne laisse pas le vieillard rentrer en moi ! Essayez, des fois ça marche !
Lire les commentaires textes
C'est pas faux !