anastasia
Encore je me pose la question
Le 10/01/2022
En quelle époque suis-je ? Passer une bonne partie de ma vie éveillée en rêvassant pour m’évader du quotidien qui m’est devenu indifférent. Cela suffit-il à mon bonheur ? Ça va pas, non ?!?! Les rêves éveillés aussi sublimes soitent-ils sont pour les enfants, les autistes , les savants fous, que sais-je ...enfin, ce n'est pas la normalité. Donc descendons des nuages stratosphériques, ouvrons un œil, j’ai bien dit indifférent, sur ce qu’on nomme d’après moi abusivement la réalité.
Entre une lutte perdue d’avance contre la nature vengeresse et le chaos qui nous est imposé le choix n'est plus à faire. On est en plein dedans et d’un côté c'est assez cocasse. Doigts d’honneur, je vous emmerde et autres noms d’oiseaux volent à tous vents . Je prévois, comme cela, pour m’amuser, qu’on est parti pour un bout de temps. Alors vous savez quoi ? En attendant de fermer les deux yeux pour de bon, je lui mettrai une œillère à celui qui veut encore zieuter et je me marre, je me marre....Je ne perds rien pour attendre.
Entre une lutte perdue d’avance contre la nature vengeresse et le chaos qui nous est imposé le choix n'est plus à faire. On est en plein dedans et d’un côté c'est assez cocasse. Doigts d’honneur, je vous emmerde et autres noms d’oiseaux volent à tous vents . Je prévois, comme cela, pour m’amuser, qu’on est parti pour un bout de temps. Alors vous savez quoi ? En attendant de fermer les deux yeux pour de bon, je lui mettrai une œillère à celui qui veut encore zieuter et je me marre, je me marre....Je ne perds rien pour attendre.
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C’était mieux les Fêtes
Le 06/01/2022
quand même.... Parce que le dernier sapin enlevé, c’est reparti comme en 2021 ! Encore le covid, encore la zemmourisation des joutes remplissant les médias, la même jeannette en plus coiffée pareil....Raz la casquette....
Je fus bonne élève, piquée trois fois, masque en veux tu en voilà, les fenêtres ouvertes à tout va, cloîtrée dans mon coin douillet devenu à force une prison et l’horizon paraît tout aussi trouble, de la joie point. Tais toi vieille ton horizon est bien bouché, la faute - pas à Voltaire- mais aux années que tu traînes qui pèsent de plus en plus lourd. N’invoque plus tes classiques ils sont aux oubliettes pour un bout de temps...N’empêche, c’est pas gai tout ça...
Je fus bonne élève, piquée trois fois, masque en veux tu en voilà, les fenêtres ouvertes à tout va, cloîtrée dans mon coin douillet devenu à force une prison et l’horizon paraît tout aussi trouble, de la joie point. Tais toi vieille ton horizon est bien bouché, la faute - pas à Voltaire- mais aux années que tu traînes qui pèsent de plus en plus lourd. N’invoque plus tes classiques ils sont aux oubliettes pour un bout de temps...N’empêche, c’est pas gai tout ça...
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Pareille
Le 30/12/2021
à une punition je vis les Fêtes....Et Dieu sait avec quel frisson je les attendais jadis... Tout semblait rempli de promesses, le sapin que papa décorait d’une touche de magie, maman, une autre magicienne, s’occupait des préparatifs non exclusivement culinaires, les invités, des amis et habitués de notre maison, tout sentait bon et respirait le bonheur. Puis arriva la prime jeunesse, autres rêves, autres espoirs. Ce qui était encore plus excitant c’était le flou de l’avenir immédiat, l’existence occulte d’un prince charmant qui -c’était obligé- allait surgir du néant, peut être pas à l’instant mais il devait nécessairement être mis de côté pour moi quelque part. Dans le tourbillon des Fêtes j’oubliais sa venue sans gâcher pour autant mon bonheur absolu.
Où sont passés ces années d’insouciance, d’espoir confus, de joie gratuite ? La vie qui suivit me plongea dans le réel le plus cru. Quand j’ai perdu ce don du bonheur je n’en sais rien. Pas de signes avant coureurs pour que je puisse m’en préserver. Comme la bière belge, Mort Subite !
Ce que je vis n’a aucun sens, pas d’espoir, de joie, cela fait un bout de chemin qu’il n’est plus question. Le seul sentiment dont je suis encore capable et là j’ai passé maître ( pardon maîtresse selon la mode actuelle que j’espère éphémère) c’est la tristesse. Même pas de nostalgie, rien. Tristesse quand tu nous tiens....
Où sont passés ces années d’insouciance, d’espoir confus, de joie gratuite ? La vie qui suivit me plongea dans le réel le plus cru. Quand j’ai perdu ce don du bonheur je n’en sais rien. Pas de signes avant coureurs pour que je puisse m’en préserver. Comme la bière belge, Mort Subite !
Ce que je vis n’a aucun sens, pas d’espoir, de joie, cela fait un bout de chemin qu’il n’est plus question. Le seul sentiment dont je suis encore capable et là j’ai passé maître ( pardon maîtresse selon la mode actuelle que j’espère éphémère) c’est la tristesse. Même pas de nostalgie, rien. Tristesse quand tu nous tiens....
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Entre autres....
Le 29/12/2021
Envie de parler musique, manque de pot, pas d’interlocuteur. Mozart est mort, sûrement il n’aurait pas eu envie d'en parler avec moi ou avec n’importe qui d’autre. Il ÉTAIT LA MUSIQUE. Mais nous les affamés de sublime on a beau chercher parmi les vivants cela ne courre pas les rues.
Le mystère des sons qui s’évanouissent sans retour ... et pourtant leur indicible pouvoir de séduction....Le fantastique qu’ils réveillent, les voies presque douloureuses qu’ils ouvrent en nous....Bof, ne fais pas ton imbécile en cherchant du mauvais côté. Écoute en solo et laisse-toi aller, les rêves impossibles foisonnent, prends en un au hasard et passe ton chemin. C’est déjà trop ce cadeau pour toi.
Le mystère des sons qui s’évanouissent sans retour ... et pourtant leur indicible pouvoir de séduction....Le fantastique qu’ils réveillent, les voies presque douloureuses qu’ils ouvrent en nous....Bof, ne fais pas ton imbécile en cherchant du mauvais côté. Écoute en solo et laisse-toi aller, les rêves impossibles foisonnent, prends en un au hasard et passe ton chemin. C’est déjà trop ce cadeau pour toi.
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J’ai mal
Le 29/12/2021
À l’amour.... À l’amour que j’ai rêvé, à l’amour que j’ai pas eu, à l’amour impossible.... Je suis banale, prévisible, comme tout un chacun. Pourtant j’en ai eu une lueur, un fulgurant aperçu chez mes parents, toujours eux , une fenêtre vers un rêve inaccessible. Ma grande joie, mon infini bonheur c’est celui là, eux ils ont touché une petite partie du Divin....
Vous savez quoi ? Cela suffit à mon rêve, je suis prête au Grand Départ sans regret.... quoique j’aurai pas dit non à une petite part de ce gâteau.... On n’est pas parfait, n’est ce pas ?
Vous savez quoi ? Cela suffit à mon rêve, je suis prête au Grand Départ sans regret.... quoique j’aurai pas dit non à une petite part de ce gâteau.... On n’est pas parfait, n’est ce pas ?
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