anastasia
S-ar parea...
Le 09/09/2012
S-AR PAREA…
Ca vârsta aduce întelepciune ! poate la unii dar la cei mai multi întâlniti de mine nu ! sarmani neputinciosi tot atât de uimiti de vicisitudinile aruncate zilnic dinspre fereastra iluziilor lor cum erau când nu sosea la timp biberonul !
Si degeaba i-am aranjat pe caprarii, sexe, gusturi sociale sau maniere stilistice, toti au un numitor comun : obtuzitatea în fata evidentei !
Uite eu de exemplu : n-as zice ca nu mi s-au perindat prin fata retinei (si chiar ceva mai jos de retina) tot felul de exemplare de la care ar fi trebuit sa învat tot : furtisagul viselor, triseria limbajului dublu, triplu, multiplu în orice caz, simularile de orice fel pentru obtinere de obedienta totala (altfel nu merge, nu merge deloc) si la sfârsit lupta pe teren lunecos cu primitul unei directe venita din spate si în cel mai nepotrivit moment. Bun, o directa în masele nu e niciodata binevenita sunt de acord, dar stiind câte ceva mai ai timp de înbracat o manusa de box, macar sa fie meci adevarat ! Si zip ; zero, n-am învatat nimic. Sunt la fel de bleaga precum petuniile mele neudate, la fel de dezorientata ca o busola ciunga, drumul pietros plin de renuntari si refuzuri mi se pare la fel de dureros ca atunci când mi se refuza jucaria poftita si neobtinuta din motive ramase pâna azi obscure… De altfel totul mi se pare obscur, cetos, evenimentele chiar cele anodin placute ma mira prin constanta cu care vor sa se repete pâna la greata… Sa raspund cu cele mai plate banalitati ? De mii de ori observate si totusi reluate, un fel de munca lui Sisif acceptata (sau nu ?) cu resemnarea sclavului ? Da, cu mult curaj o afirm : nimeni nu învata din experienta celorlalti (ma refer la viata sentimentelor care se încapatâneaza sa traiasca în propria lor sfera ermetic închisa si definitiv impermeabila), aceleasi vaicareli, nepotriviri de pas, de timing, de dorinti, aceleasi dulcegarii asteptate si neprimite, acelas pat strâmt, mult prea strâmt pentru vise –oricât ar fi ele de mici, de neînsemnate- aceiasi melodie a nefericirii cântata pe mai multe voci, deobicei fals si întotdeauna alaturea de context.
Si totusi…iubirea cum spunea un poet coada de topor dar frunte de artist, e mai tare. Uimitor de tare ! si atunci realizezi ca esti în genunchi ca pentru rugaciune, ca primesti valul desi îti umple plamânii de apa si nu mai sti respira, ca inima a luat locul mintii si ca faci pluta pe un no man’s land fara colac de salvare în caz ca…SI CA MACAR PENTRU UN SCURT TIMP, FOARTE SCURT, STII SA FII FERICIT.
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SI DACA
Le 04/09/2012
SI DACA ?
Pamântul tot mai e turtit la poluri ? unde fie zis între noi, daca continua « încalzirea » o sa faceti hamam cu totii ! Face bine la sanatate, scoate toxinele si ideile din corp, o sa deveniti niste pinguini simpatici si ascultatori, în orice caz multi !
Eu o sa fiu departe, « în alte galaxii » unde îi place poporului meu sa-si trimeata compatriotii când le afla moartea ! Nici morti nu-i vor aproape !
Curioasa chestia asta cu « apartenenta »…De acord, mic copil esti spalat pe cap corp si creier de toti care-ti vor binele, adica se le cresti pe aproape, sa fii daca nu un geniu macar mica lor revansa asupra vietii. Asta în cazul în care le pasa. Si te hranesc cu de toate sa dospeasca în tine ca un clon ce a dospit –cu mai multa bucurie sau durere- si în ei, etc etc. Poate e mai bine când nu le pasa, mai ai o sansa sa faci ceva personal, de-al tau…
Dar mai târziu ? când macar o parte din cortex (se stie ca utilizam foarte putin din el) ramâne virgina, câte ai putea sa pui în ea ? Ale tale, numai. Sa fiu cinstita cunosc oameni din cele doua categorii – clonii si revoltatii - si admiratia mea merge neclintica catre cei liberi.
Eu am fost undeva la mijloc deci din când în când mai sar coarda si o iau prin balarii…E si asta o viata, vezi multe vrute si nevrute, calci pe cealalta parte a pamântului, aia care ti-o poti inventa. Revii în ograda, pentruca revii, mai te lasi hranit ; mai dospesti si pâna la indigestie stai. Apoi o tulesti « englezeste » (de ce ? fugeau ca lasii ? sau ca liliecii – invizibili ?) si re-inventi lumea, lumea « ta ».Daca poti…
O fi mai buna ? Mai digesta ? Nu sunt sigura de nimic dupa atâta « atletism » între ce as fi vrut sa fiu (adica cu adevarat libera) si unde am ajuns cu genunchii rupti de atâtea sarituri….
Dar cum se spune – de catre cei cu mintea cam încurcata în itele semi-doctiei – omul propune si Dumnezeu dispune ! Si lasa-te pe laba scurta a prezentului ca pâna sa te dezmeticesti esti déjà un has been !
Si daca totusi observ ca asa, pâs pâs , mi-au crescut niste aripi atât de mari ca nu mai încap pe usa strâmta a domiciliului « fix » ? Si daca le desfac ce se întâmpla ? Stiu fiindca sunt ca toata lumea (desi cu aripi prea mari…) : apare enorma, hidoasa, schimonosita, dar strivitoare FRICA !
Ma las înghitita de monstru ? SAU NU ?
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EROS CUPIDON
Le 02/07/2012
EROS-CUPIDON
Quel stupide cliché veut qu’on soit heureux et poète ! Malheureux et poète serait à peu près le même mais vrai celui-là !
Donc étant heureuse (en amour) j’écris sans honte de pures conneries ce que confirment toutes les recherches biochimiques sur la naissance de ce sentiment.
On devient sourd (mais pas muet du tout, au contraire la logorrhée verbale en est le premier signe), insensible aux autres, calfeutré dans sa bulle (si on se doutait combien elle est fragile on ferait dix, mille pas à reculons juste pour échapper au inévitable carnage) qui flotte dans les vents troubles de l’impalpable et on s’y sent à l’abri définitivement, irrémédiablement, pauvres cons que nous sommes devenus ! L’AMOUR n’est pas un état naturel, les grecs et les romains l’ont bien compris ! C’est pourquoi Eros-Cupidon, ce bébé joufflu et cruel envoie des flèches au hasard pour se marrer ensuite des malheurs de l’humanité ! Une plaie vive qui saigne et fait terriblement mal voilà ce que nous attend une fois dégrisés du choc !
L’Après n’est qu’une suite de faux pas, faux semblants, fausses identités ! On se prend pour des Dieux et on est des pauvres hères quémandant que le scénario corresponde à nos rêves ! Des cons je vous le répète, vous comprenez ?
La suite demain.
Suite prévisible : deux dangers arrivent simultanément : la souffrance et la routine.
Je m’explique : la souffrance connait mille trucs pour nous paralyser le mental, la preuve je suis incapable du moindre jugement qui serait une intelligente parade à mes frustrations. On voudrait l’autre un pantin jouant notre musique quand et comment on la veut, on le voudrait en même temps héros (et Eros) grand seigneur pour nous soumettre jusqu’à la moelle, on le voudrait beau (comment ? cela reste à déterminer puisqu’on change de goût comme de chaussettes) , baroudeur mais toujours dans nos basques, pas forcément jeune mais vigoureux, et Grands Dieux sublimement sensible ayant le répondant prompt pour nous servir exactement les clichées stupides dont on a plein les tripes et le cervelet ! Evidemment c’est pas possible, donc…on débute par pleurnicher, d’abord intérieurement, ensuite en l’abreuvant de suggestions, reproches, bouderies et autres petites choses qui font tellement plaisir à l’autre qu’il commence sérieusement à envisager les plus discrètes façons de foutre le camp ! Remarquez, c’est une envie qui me prend moi aussi des fois, chacun son tour non ?
Mais si tout va bien ? Idéalement bien ? Hein ? Comment gérez-vous cela ? Je vous le donne en mille : en cherchant bien, vraiment bien on trouve toujours la petite bête, le petit bout qui coince et qui se nomme LA ROUTINE ! Et vlan ! Cupidon range son carquois, vous votre valise pleine de rêves insensés et vogue le navire de la solitude vers vos âges (deuxième, troisième, etc) et vers la fin sans avoir résolu le plus simple des problèmes de la vie : comment accepter l’AUTRE ? Et l’aimer de surcroît ? Eh ben, avalez-moi ça !
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LA MORT
Le 23/06/2012
La Mort
La mort est atroce, cela on le sait. Une sale grosse évidence (ici on va crier à la banalité du propos) et pourtant tous et toutes on la cache de plus en plus sous le tapis comme la poussière que la belle-mère ne devrait subodorer sous peine de conflit intergénérationnel.
Que de fois j’ai détourné mon intérêt, que dis-je –mon corps et âme- de cette abomination, de cette dérobade qui en plus nous est imposée de tous côtés : mon jardin meurt en automne et ne me dites pas qu’il renaît au printemps, ce ne sont jamais les mêmes feuilles, les mêmes fleurs, la même pluie bienfaitrice, le même soleil ! – là je m’égare, me fourvoie sur des sentiers bucoliques déjà menée par le bout du nez par la propagande, le lavage du cerveau que cette garce nous distille depuis la nuit des temps cosmogoniques.
La mort est moche, acariâtre et tyrannique, très mal élevée aussi, arrivant toujours trop tôt ou trop tard sans laisser traîner le moindre petit espoir sinon d’y échapper, du moins de négocier un minuscule, dérisoire atermoiement ! Nenni, rien, zip !
Et pourtant, vous les survivants (pour un laps de temps indéterminé, c’est tout) avez-vous bien réfléchi à tous les tenants et aboutissants de la CHOSE ?
Commençons par la disparition d’un objet : comment vous faites ? Comment vous gérez ? Vous le cherchez un certain temps, vous passez à l’accusation d’un ou plusieurs tiers, puis au bout d’un temps –variable- selon le vide ressenti, vous oubliez, vous remplacez, vous rêvez déjà d’autre chose !
Et pour votre animal chéri, le meilleur ami de l’homme ? Vous l’acceptez ? Bien sûr que non, vous courrez chez le véto, implorant la Garce pour un miracle, petit miracle mais quand même…S’agit-il de lui ou de vous ? Qui est le « supportant » de la perte ? « Le souffrant » ? Tous vous dites que c’est dur, on ne vous reprendra plus, trop de souffrance, trop de vide, trop de souvenirs – et par dessus si bon le pauvre, tellement attaché, fidèle et sage, bref le compagnon idéal qui hélas dans notre univers des animaux debout ne se trouve guère ! Et qu’est-ce que vous faites, pour votre grand bien sûrement, vous en prenez un autre ! Toujours faisant service de porte-manteau à toutes vos effusions rentrées, frustrés non avoués que vous êtes !
Mais vient le Grand Jour redoutable entre tous ou on vous chipe sans ménagement un pan entier de votre maison, votre antre et vos entrailles pour faire un jeu de mot dégoutant (dégoulinant de mauvais gout) et ALORS ? C’est la Bérézina, LA VRAIE, LA GRANDE, superbement dévastatrice qui vous laisse sous les décombres sans aucun miraculeux sauveteur…
J’ai trouvé tout à fait par hasard comment tricher : il faut –après la débâcle et si vous réussissez de rester en vie, je veux dire non seulement manger, respirer, bref continuer les fonctions triviales pour garder notre chair prête au canon de la Garce, non, EN VIE donc suivre le bourdonnement social, y participer efficacement et si possible avec ce qui reste d’enthousiasme primaire pour continuer ce qu’on nous a transmis – oui il faut trouver moyen de sauter dans une autre, absolument autre, définitivement autre relation avec les chers perdus et la continuer obstinément pour le bien de tous je suis sûre ! Finalement, me dis-je, je pourrai converser avec mes parents d’égal à égal, prendre seulement la part belle des choses, bref CREER pour continuer mais créer à ma façon. Dialogue permanent mais à sens unique ! Fastoche quoique je sens de grosses réticences, ou peurs, ou carrément de la paresse…chez vous, pas chez moi. Je sais que mes histoires vont leur paraitre plus drôles parce que je vais les leur raconter ainsi, que je vais pouvoir ENFIN vivre d’une seule façon – la mienne – et en même temps la partager avec eux ! Eux souriants, contents, approbateurs toujours parce que toujours silencieux. Néanmoins présents, éternellement à côté de moi, enfin éternellement – que dis-je ? - le temps de vivre (et finir) ma vie en beauté solitaire… Vivre et mourir ensemble, n’est-ce pas logique ? Normal ?
J’occulte sciemment LA PLUS GRANDE abomination –que j’ai pris grand soin de ne pas connaître n’ayant rien enfanté que quelques écrits dérisoires et ignorés – la perte d’un enfant. Quoi de plus terrible que d’assister à l’arrachage brutal de votre propre chair, meurtrissure dont on ne se remet JAMAIS à moins d’utiliser ma méthode sus mentionnée.
Qu’est-ce que vous dites de ça ? La bonne idée pour ne pas devenir tous fous ? Ou fin prêts avant l’heure pour nous livrer sans révolte ni opposition farouche à l’Impensable , Indomptable Garce ?
Un truc pour la faire poiroter, un gimmick, une petite blague… Ridicule dites-vous ? Non, encore plus pathétique que la Mort…LA VIE.
Petite, toute petite consolation.
Finalement l’Art c’est l’impossibilité de VIVRE. De vivre simplement la VIE sans essayer de l’amadouer, la transformer, la plier AUTREMENT. C’est quelque part une infirmité (que le monde des animaux, plus intelligent, ne connait pas) un besoin de remplacer le vide en soi par une AUTRE construction plus compréhensible (ou plus acceptable) pour l’Artiste. Quelle présomption de s’appeler un CREATEUR !!! De quoi ? D’un monde parallèle ? Meilleur ? Plus beau ? DIFFERENT ? La bonne blague ! On continue inlassablement avec un entêtement oligophrène à chercher, reproduire, fabriquer formes, compositions, morceaux de toutes sortes, jamais finis, jamais contents, toujours à refaire et défaire la même insaisissable réalité avec l’espoir d’arriver enfin à l’ultime vérité. Depuis des millénaires on fait et refait le monde sans jamais croire et pouvoir mettre le seul mot valable qui arrêterait cette quête absurde, le mot FIN.
Et moi alors, qu’est-ce que je fabrique ? Tricotant des mots qui ne veulent rien dire, juste pour pousser un peu plus loin la charrette de l’inutile. Cela me rappelle une anecdote presque philosophique : un type passe tous les jours devant une boucherie en trainant une grosse corde sur le trottoir. Un jour le boucher, intrigué lui demande : excusez-moi, cela fait un bout de temps que je voulais vous poser la question, pourquoi trainez-vous cette corde tous les jours ? Réponse du type : j’ai essayé de la pousser mais ça ne marche pas….
VOILA, c’est tout.
Paris, 17 nov.2011
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HOPE LIMITED
Le 21/06/2012
HOPE LIMITED
Qu’est-ce qui m’a pris ce soir de regarder cela ? Le vieux complexe –sincèrement je l’avais complètement occulté celui-là –de l’intellectuel « dans le coup » ? Plus prosaïquement l’ennui d’une soirée de solitude à avaler les mêmes conneries qui nous instillent des rêves insensés ? (mais ça c’est un autre discours beaucoup plus terre-à-terre donc gardant un semblant d’humain, de chaleureux de protecteur, bref des conneries vous dis-je !)
Non, sûrement le Diable m’a à l’œil, je ne suis pourtant pas une proie intéressante, oh ! Non ! Surtout par les temps qui courent ! Il a tant d’événements plus intéressants à se mettre sous sa patte de velours… Mais…mais… après avoir jeté une oreille non complaisante je l’avoue mais néanmoins juste ce qu’il le faut absolument sur le panorama de la jeunesse musicale (pas toujours si jeune d’ailleurs) qui me fait éloigner de plus en plus du paysage « culturel » devenu planétaire grâce à quelques gosses (jeunes ou moins, n’importe) facétieux et définitivement stupides pour n’avoir pas prévu le tsunami qui tôt ou tard leur tombera sur la tête et qui mettent à ma disposition soi disant gratuitement (mon œil ! tout m’a couté la peau des fesses, l’ordi, les bouquins qui vont avec parce que je ne suis pas née avec des doigts prolongés par des boutons, les additifs c'est-à-dire tout le trousseau de chargeurs, imprimantes , périphériques divers dont le rôle avoué est d’être les béquilles de ma mémoire mais qui au fond sont les pires ennemis de vos (et mienne) vies ! Oh ! Les jolis secrets que vous découvrez au hasard de vos piteuses errances sur « la toile, le réseau, le net, et ses accessoires ! » Pas très tendres les pensées que vos co-voyageurs dans cette vie envoient contre vous vers des plus vertes pâturages ! Le vice-versa est de rigueur aussi ! Allez, avouez vous faites de même ou vous en rêvez ! On vous surveille mes potes, on vous a à l’œil ! Ou mieux vous étalez avec une jubilation enfantine votre dossier complet pour qu’on puisse vous voir tous nus et croyez-moi, vous n’êtes pas toujours très jolis à voir !
Je m’égare comme d’hab, mille excuses mais j’ai fait une stupéfiante découverte ce soir, Dieu seul le sait quel effet terminal aura-t-elle sur moi ?
Quelle découverte ? Je vous la donne en mille : il y a sur terre d’autres âmes cassées par le non dit, en tout cas le non dit assez ! A propos de quoi ? Ben, du REEL pardi ! Le vrai, le quotidien, celui qui nous ronge inlassablement depuis la naissance et nous mène par le bout de nos envies absurdes vers une seule et unique fin : le noir, le silence, la solitude, LE TROU. Tous nos espoirs, nos amours, nos supposées réussites effritée par le TEMPS tellement court qui nous est imparti, les séparations les pertes, les humiliations, les maladies, la déchéance irrémédiable, tout cela sans aucun pouvoir ! La révolte même s’émousse, nous déçoit, nous liquéfie pour mieux nous couler dans le NEANT.
Pour être juste il y avait aussi le DIVIN, plus précisément le désir d’un »Divin » parlant d’une voix humaine, traditionnellement compréhensible puisqu’elle tirait tous ses arguments de la croyance (donc lumière, bonté, solidarité, et surtout, surtout communication ou communion entre « frères »). Mais tellement démuni quoique rempli à ras bord de force ascensionnelle, si impuissant devant une simple et terrible existence humaine dans toute sa banale peine quotidienne ! Mon Dieu, pour une fois bavard et éloquent, sans pouvoir aucun sur le pauvre hère décidé par dégout et épuisement en finir avec cette réalité qui fait mal par n’importe quel bout qu’on la prend !
Et cette joute verbale sur fond de misère proprette dans une chambre-église pour les amputés des âmes cela faisait « vrai », là est le PROBLEME ! Parce qu’à la fin mes frères, il n’y a eu ni vainqueur ni vaincu, juste un épais, ENORME, désespoir dégoulinant de partout, aspirant tout au passage pour laisser quoi ? QUOI ? QUOI ?
Bullshit
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