anastasia
Le Retour de l'Affaire du Bouledogue
Le 12/07/2013
Le Retour de ou des Affaires du Bouledogue
Remarquez, moi j’aime les chiens, y a pas plus fidèle, enfin sauf quand ils s’énervent et cela leur arrive parfois…
Bon, cela étant éclairci, je passe au retour du plus médiatisé des clowns jongleurs avec la morale et surtout nos sous. Ne me dites pas, je le sais qu’il a bossé à sa façon pour avoir de l’argent, beaucoup d’argent. Pas compétente pour dire où est l’escroquerie dans son univers qui je l’avoue m’intéresse peu. Je le trouve vulgaire, violent et…triste son univers de riche tombé de haut en pauvreté, se vengeant et mettant joyeusement d’autres dans – passez moi l’expression – la mouise ! Pour récupérer des sous, beaucoup de sous !
Il fut, je le lui accorde, beau gosse et excellent bonimenteur ! Moi je m’en tape s’il redevient riche ou de nouveau détenu pauvre, ou riche détenu devenant libre mais pauvre, on s’en perd et pour beaucoup moins !
Ce que je trouve vraiment dégoûtant c’est nous mentir - tous autant qu’ils sont – et nous prendre pour des attardés de la cervelle ! Mon œil qu’ils ne se font pas la courte échelle, mon œil qu’ils ne jouent pas à la « tu me tiens, je te tiens par tes comptes (bancaires, de campagne, en sous-main, tout est bon à prendre, rien à laisser !) Comment ne pas perdre sa fidélité, je vous le demande ?
De toute apparence ce bouledogue tombe toujours sur ses pattes, un dirait un chat ! Cela n’a rien à voir mais il la mérite cette petite méchanceté : le bouledogue a les bajoues tombantes (malgré le lifting) le nez en patate et l’œil qui est en train de rapetisser dur signe de vieillesse ! Et je me demande si des fois il pense au fait que le linceul (que je lui souhaite habiller le plus tard possible) n’a pas de poches. Du moins ainsi nous l’a promis le nouveau Pape !
Remarquez, moi j’aime les chiens, y a pas plus fidèle, enfin sauf quand ils s’énervent et cela leur arrive parfois…
Bon, cela étant éclairci, je passe au retour du plus médiatisé des clowns jongleurs avec la morale et surtout nos sous. Ne me dites pas, je le sais qu’il a bossé à sa façon pour avoir de l’argent, beaucoup d’argent. Pas compétente pour dire où est l’escroquerie dans son univers qui je l’avoue m’intéresse peu. Je le trouve vulgaire, violent et…triste son univers de riche tombé de haut en pauvreté, se vengeant et mettant joyeusement d’autres dans – passez moi l’expression – la mouise ! Pour récupérer des sous, beaucoup de sous !
Il fut, je le lui accorde, beau gosse et excellent bonimenteur ! Moi je m’en tape s’il redevient riche ou de nouveau détenu pauvre, ou riche détenu devenant libre mais pauvre, on s’en perd et pour beaucoup moins !
Ce que je trouve vraiment dégoûtant c’est nous mentir - tous autant qu’ils sont – et nous prendre pour des attardés de la cervelle ! Mon œil qu’ils ne se font pas la courte échelle, mon œil qu’ils ne jouent pas à la « tu me tiens, je te tiens par tes comptes (bancaires, de campagne, en sous-main, tout est bon à prendre, rien à laisser !) Comment ne pas perdre sa fidélité, je vous le demande ?
De toute apparence ce bouledogue tombe toujours sur ses pattes, un dirait un chat ! Cela n’a rien à voir mais il la mérite cette petite méchanceté : le bouledogue a les bajoues tombantes (malgré le lifting) le nez en patate et l’œil qui est en train de rapetisser dur signe de vieillesse ! Et je me demande si des fois il pense au fait que le linceul (que je lui souhaite habiller le plus tard possible) n’a pas de poches. Du moins ainsi nous l’a promis le nouveau Pape !
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Encore la Mort...
Le 10/07/2013
Furtive, traitresse...Non pas parce qu'elle vient, depuis notre naissance elle rôde autour, mais elle prend un malin plaisir à nous surprendre... Le père d'un être cher est parti comme ça, emporté sans prévenir, juste quand il se voyait installer encore un petit moment pour souffler...Ironique non ? C'est exactement ce qu'elle a fait, lui couper...le souffle. En nous faisant comme à son habitude un clin d'oeil pervers, who's next ?
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Le 4th of july
Le 04/07/2013
Le Jour de l’Amérique
C’est le 4 juillet aujourd’hui ! Déjà ! Le temps-traître se faufile comme un malpropre pour nous faire glisser plus vite vers la sortie…
Mais oublions cela…si possible ?! C’est un jour de fête outre-Atlantique comme on dit, je me demande s’ils fêtent vraiment et quoi ? Une nation – non semblable à toutes les autres, pour nous en tout cas européens… Capable de compassion jusqu’au sacrifice de ses fils pour d’autres qui ne leur rendent aucune justice ni la moindre once de reconnaissance, faisant jaillir avec la même violence élans patriotiques et massacres absurdes, pratiquant la repentance avec démesure, d’ailleurs tout est démesure sur ce continent !
En ce jour il y a un Sacre, ils le respectent tous à peu près de la même façon : BBQ ! J’ai appris encore un mot (comme quoi on apprend à tous les âges, n’est-ce pas ?). Je suis méchante et injuste ! Ils lancent aussi des feux d’artifices, boivent de la bière…Pas si différent de nous un 14 juillet, non ? Et pourtant…
Là-bas on dirait la planète Mars tellement on a l’impression d’un danger vital non explicable, complètement irrationnel et faux par-dessus le marché ! Je sais, je sais qu’il y a une flopée de jeunes (et de moins jeunes d’ailleurs) qui rêvent d’y vivre, qui y vont et chose surprenante y restent ! Cela ne veut pas dire que l’Amérique est moins étrange, cela veut dire qu’on ne se rend plus compte de rien…Gommées nos identités, œillères bien calées pour ne rien remarquer, on se balade sur la Terre comme en forêt de Brocéliande, prenant ce qu’on voit pour de la fiction télé, rien de plus.
Suis-je bien claire ? Je ne juge, ni condamne, ni nie cette autre réalité que les américains à coup d’ingénieuse imagination ont construit en dehors de nous ! Je dirais même en dépit de tout !
Au contraire, avec humilité je reconnais le regard d’une bonté naïve avec laquelle ils nous abreuvent bienveillants toujours, arrogants jamais. Je m’incline devant les tombes qui remplissent une bonne partie des cimetières d’ici… Ils viennent quand on en a besoin et même quand on n’en a pas ! Ils payent de leurs vies ce désir de répandre leur « chère liberté », leur idée de la démocratie oubliant – mais on leur pardonne – que la démocratie c’est les grecques qui l’ont inventée ! Ils ont acheté quand nous voulions plutôt leur dollars qu’eux notre Art ce qu’on avait de mieux produit pendant des siècles…Et ils les ont bien rangés dans des splendides musées que dis-je presque des temples pendant que nous rions bêtement sûrs de les avoir bernés !
Je n’oublie pas cependant que je fais partie de la génération « tu vo fa l’americano » ! Le tardif après-guerre où on dansait le rock and ‘roll tout en rêvant de gros frigidaires, de grosses bagnoles, de motos pétaradantes ! C‘est là qu’on a quitté notre route et on est parti hébétés à battre les autoroutes de l’impossible ! Parce que là-bas, rien ne nous attache à quelque chose de connu, de familier… Pas de passé rempli d’histoire (le lieu commun que j’avance là, mais bien réel) pas de souvenirs, pas de nourriture « de chez nous », rien… La planète Mars vous dis-je… On peut aimer ou pas. On peut être ravi ou effrayé, mais on n’est pas en pays de connaissance, cela non !
Bon, est-ce qu’on peut se passer d’eux ? Aujourd’hui comme hier… That is the question…
C’est le 4 juillet aujourd’hui ! Déjà ! Le temps-traître se faufile comme un malpropre pour nous faire glisser plus vite vers la sortie…
Mais oublions cela…si possible ?! C’est un jour de fête outre-Atlantique comme on dit, je me demande s’ils fêtent vraiment et quoi ? Une nation – non semblable à toutes les autres, pour nous en tout cas européens… Capable de compassion jusqu’au sacrifice de ses fils pour d’autres qui ne leur rendent aucune justice ni la moindre once de reconnaissance, faisant jaillir avec la même violence élans patriotiques et massacres absurdes, pratiquant la repentance avec démesure, d’ailleurs tout est démesure sur ce continent !
En ce jour il y a un Sacre, ils le respectent tous à peu près de la même façon : BBQ ! J’ai appris encore un mot (comme quoi on apprend à tous les âges, n’est-ce pas ?). Je suis méchante et injuste ! Ils lancent aussi des feux d’artifices, boivent de la bière…Pas si différent de nous un 14 juillet, non ? Et pourtant…
Là-bas on dirait la planète Mars tellement on a l’impression d’un danger vital non explicable, complètement irrationnel et faux par-dessus le marché ! Je sais, je sais qu’il y a une flopée de jeunes (et de moins jeunes d’ailleurs) qui rêvent d’y vivre, qui y vont et chose surprenante y restent ! Cela ne veut pas dire que l’Amérique est moins étrange, cela veut dire qu’on ne se rend plus compte de rien…Gommées nos identités, œillères bien calées pour ne rien remarquer, on se balade sur la Terre comme en forêt de Brocéliande, prenant ce qu’on voit pour de la fiction télé, rien de plus.
Suis-je bien claire ? Je ne juge, ni condamne, ni nie cette autre réalité que les américains à coup d’ingénieuse imagination ont construit en dehors de nous ! Je dirais même en dépit de tout !
Au contraire, avec humilité je reconnais le regard d’une bonté naïve avec laquelle ils nous abreuvent bienveillants toujours, arrogants jamais. Je m’incline devant les tombes qui remplissent une bonne partie des cimetières d’ici… Ils viennent quand on en a besoin et même quand on n’en a pas ! Ils payent de leurs vies ce désir de répandre leur « chère liberté », leur idée de la démocratie oubliant – mais on leur pardonne – que la démocratie c’est les grecques qui l’ont inventée ! Ils ont acheté quand nous voulions plutôt leur dollars qu’eux notre Art ce qu’on avait de mieux produit pendant des siècles…Et ils les ont bien rangés dans des splendides musées que dis-je presque des temples pendant que nous rions bêtement sûrs de les avoir bernés !
Je n’oublie pas cependant que je fais partie de la génération « tu vo fa l’americano » ! Le tardif après-guerre où on dansait le rock and ‘roll tout en rêvant de gros frigidaires, de grosses bagnoles, de motos pétaradantes ! C‘est là qu’on a quitté notre route et on est parti hébétés à battre les autoroutes de l’impossible ! Parce que là-bas, rien ne nous attache à quelque chose de connu, de familier… Pas de passé rempli d’histoire (le lieu commun que j’avance là, mais bien réel) pas de souvenirs, pas de nourriture « de chez nous », rien… La planète Mars vous dis-je… On peut aimer ou pas. On peut être ravi ou effrayé, mais on n’est pas en pays de connaissance, cela non !
Bon, est-ce qu’on peut se passer d’eux ? Aujourd’hui comme hier… That is the question…
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De Ce ?
Le 02/07/2013
De ce ?
Când vine ora de culcare, panica ascunsa sub tot felul de subterfugii… Altfel dorm oricând, oriunde…pe canapele, în masina, pe mine, mergând;..numai seara în pat, ca tot animalul, nu.
De ce ? frica de moarte ? Frica de întuneric…o mascam cum putem în insomnie, creativitate, fascinatia noptii, romantisme de tot felul, minciuni ! Ne e frica si basta. Am oroare de lumina care iremediabil va trebui stinsa, de linistea trista care se instaleaza, de golul atât de plin de gânduri colcaind in creierul care abia atunci începe sa fiarba ca si când cine stie ce fulgere dumnezeiesti va scoate ! As ! prostii, banalitatile de care am fugit toata ziua mintindu-ma abil si dându-mi aere de fiinta importanta si ocupata ! astea circula nestavilite într-un haos producator de panica lipita pe ici pe colo cu scotchul lasitatii...Colac peste pupaza, total neproductiva agitatia asta mintala...Aproape ma aud gândind si singurul rezultat e marirea panicii si atât. Si atunci scriu, scriu...prostiile astea ! Din exorcism ? As vrea eu ! Dar nu functioneaza ! In fiecare noapte e la fel. Incerc sa ramân treaza – vorba vine – ca sa simt si mai tare cum timpul îmi macina zilele ramase, câte or fi...Noapte buna ne uram ipocrit unii altora ! La cine e buna ? as vrea sa ma lipesc si eu...
Când vine ora de culcare, panica ascunsa sub tot felul de subterfugii… Altfel dorm oricând, oriunde…pe canapele, în masina, pe mine, mergând;..numai seara în pat, ca tot animalul, nu.
De ce ? frica de moarte ? Frica de întuneric…o mascam cum putem în insomnie, creativitate, fascinatia noptii, romantisme de tot felul, minciuni ! Ne e frica si basta. Am oroare de lumina care iremediabil va trebui stinsa, de linistea trista care se instaleaza, de golul atât de plin de gânduri colcaind in creierul care abia atunci începe sa fiarba ca si când cine stie ce fulgere dumnezeiesti va scoate ! As ! prostii, banalitatile de care am fugit toata ziua mintindu-ma abil si dându-mi aere de fiinta importanta si ocupata ! astea circula nestavilite într-un haos producator de panica lipita pe ici pe colo cu scotchul lasitatii...Colac peste pupaza, total neproductiva agitatia asta mintala...Aproape ma aud gândind si singurul rezultat e marirea panicii si atât. Si atunci scriu, scriu...prostiile astea ! Din exorcism ? As vrea eu ! Dar nu functioneaza ! In fiecare noapte e la fel. Incerc sa ramân treaza – vorba vine – ca sa simt si mai tare cum timpul îmi macina zilele ramase, câte or fi...Noapte buna ne uram ipocrit unii altora ! La cine e buna ? as vrea sa ma lipesc si eu...
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Moartea pescarusului
Le 27/06/2013
Primii pasi facuti spre "vacanta" si iata semnalul : va fi dura daca nu chiar trista...Primul lucru vazut pe fereastra :un pui de pescarus...Pescarusii au devenit prietenii mei de câtiva ani, lumea în marinimia ei îi goneste ca si când noi suntem stapânii si atotdecizatorii în toate, asa ca eu am hotarât sa-i protejez.
Deci prima pleoapa aruncata spre peisajul gradinii a înregistrat imaginea asta : un pui marisor, clainându-se si scâncind stins, aproape fara glas pe marginea piscinei... M-am repezit cu mâncare, apa si ajutorul meu prostesc de neîndemânatec... N-am mai vazut o pasare agonizând si nu stiam cum îl puteam ajuta, de salvare era clar ca nu putea fi vorba ! M-a lasat sa-l mâingâi desi era speriat -sau poate tocmai de aia...As vrea sa cred ca o vorba buna si o mâna usoara pe penele lui pestrite de copil-pescarus i-au fost o mica, mica alinare...Ce tupeu din parte-mi sa ma cred eroina, infirmiera si croque-mort în acelasi timp ! Singurul bine care am putut sa i-l fac e sa-l "duc la groapa" cum se zice...Nu l-am lasat mort si singur...Atât. Cer iertare pentru neputinta, lui, naturii, Creatorului, si voua unul sau doi care ma cititi...Dar ce lectie, fratilor ! Deasupra capetelor noastre zburau cete de congeneri si niciunul n-a venit sa-l vada, ajute, plânga...Dura lex sed lex...
Deci prima pleoapa aruncata spre peisajul gradinii a înregistrat imaginea asta : un pui marisor, clainându-se si scâncind stins, aproape fara glas pe marginea piscinei... M-am repezit cu mâncare, apa si ajutorul meu prostesc de neîndemânatec... N-am mai vazut o pasare agonizând si nu stiam cum îl puteam ajuta, de salvare era clar ca nu putea fi vorba ! M-a lasat sa-l mâingâi desi era speriat -sau poate tocmai de aia...As vrea sa cred ca o vorba buna si o mâna usoara pe penele lui pestrite de copil-pescarus i-au fost o mica, mica alinare...Ce tupeu din parte-mi sa ma cred eroina, infirmiera si croque-mort în acelasi timp ! Singurul bine care am putut sa i-l fac e sa-l "duc la groapa" cum se zice...Nu l-am lasat mort si singur...Atât. Cer iertare pentru neputinta, lui, naturii, Creatorului, si voua unul sau doi care ma cititi...Dar ce lectie, fratilor ! Deasupra capetelor noastre zburau cete de congeneri si niciunul n-a venit sa-l vada, ajute, plânga...Dura lex sed lex...
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