anastasia
American Sniper
Le 13/02/2015
Encore un piège à intellectuel que nous tend ce malin de Clint ! C'est comme un miroir à deux faces : de quel côté qu'on regarde on se fait arnaquer ! Il n'est jamais là où on voudrait qu'il soit ! Bien fait pour les politiquement corrects ! Pour ma part - vu ce qui se passe de par le monde et qu'on nous arrose en direct - je m'abstiens de penser tout court ! Ce qui m'a tourneboulé - vous allez dire que je suis vraiment une gourde - c'est la capacité des acteurs de changer de corps et de visage. Le beau Bradley - très à la mode - devenu Bibendum c'est un choc vous me passerez cela ! Comment ils font ? Ils se shootent au jus de carottes-bananes par décilitres ? Passent le plus clair de la journée à soulever des rames de métro pour arriver à ressembler à la statue du Commandeur ? Bref, bravo les artistes ! Et je pense à Clint aussi évidemment !
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Libertinage mon amour
Le 12/02/2015
Ha ! Ha ! Il va s'en sortir le bougre ! Personne n'ose lui faire remarquer qu'il n'a pas exactement la tête d'un Casanova...Ni l'élégance,ni le style, bon cela est question de goût et surtout d'époque. Libertin ?! Comme disait Coluche "il est gonflé le mec !"
A force d'inventer des "applis" (comme on dit) de "comment rencontrer son voisin-voisine " pour une "speed dating" (excusez, je veux à tout prix être dans l'air du temps), d'entendre nos dirigeants s'engueuler à tout propos, nos artistes proférer des gros mots on ne peut pas demander la lune, n'est-ce pas ?
Mais de là à nous faire croire que Monsieur le Brillant Économiste - qui dissimule sous les tapis de ses garçonnières quelques affaires en faillite - ne savait pas qu'il consommait des péripatéticiennes, c'est fort de café ! Il n'est pas -loin s'en faut - ni Hugh Grant ni Brad Pitt bon sang ! En plus il casquait pas à ce qu'il paraît ! Arrogant et radin par dessus le marché (du sexe) ! Et comme je le disais, je sens qu'il va s'en sortir. Encore une pirouette et puis s'en va ?! Mais non, soyez tranquilles, en politique on ne meurt jamais ! Ha ! Ha !
A force d'inventer des "applis" (comme on dit) de "comment rencontrer son voisin-voisine " pour une "speed dating" (excusez, je veux à tout prix être dans l'air du temps), d'entendre nos dirigeants s'engueuler à tout propos, nos artistes proférer des gros mots on ne peut pas demander la lune, n'est-ce pas ?
Mais de là à nous faire croire que Monsieur le Brillant Économiste - qui dissimule sous les tapis de ses garçonnières quelques affaires en faillite - ne savait pas qu'il consommait des péripatéticiennes, c'est fort de café ! Il n'est pas -loin s'en faut - ni Hugh Grant ni Brad Pitt bon sang ! En plus il casquait pas à ce qu'il paraît ! Arrogant et radin par dessus le marché (du sexe) ! Et comme je le disais, je sens qu'il va s'en sortir. Encore une pirouette et puis s'en va ?! Mais non, soyez tranquilles, en politique on ne meurt jamais ! Ha ! Ha !
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Les Grands de ce monde
Le 09/02/2015
Comme je les admire ! quelle force, quelle résistance à l'insomnie ! Voler ainsi par dessus les plaines, les montagnes, les pays, les peuples...et tous les jours en plus ! Faut avoir une bonne digestion, des idées pas tellement, elles sont mâchées par d'autres - les sherpas qu'on siffle au besoin...
Sérieusement, quel appétit à dévorer des kilomètres et tout ça pour serrer des mains et éviter les coups bas ! J'envie leur bonne santé. Pas leurs humeurs, ils ne semblent pas si à l'aise que prévu par les déclarations préliminaires. Courage mes Grands, c'est pas de la tarte parce que des chemins il n'y a en pas, ou si peu...
Sérieusement, quel appétit à dévorer des kilomètres et tout ça pour serrer des mains et éviter les coups bas ! J'envie leur bonne santé. Pas leurs humeurs, ils ne semblent pas si à l'aise que prévu par les déclarations préliminaires. Courage mes Grands, c'est pas de la tarte parce que des chemins il n'y a en pas, ou si peu...
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Plus fort que le Big Bang
Le 08/02/2015
Plus fort que le Big Bang
Il paraît que de nouvelles théories pointent leur bout de science-fiction : le Bang fut provoqué par l’entrechoc de deux univers. Leur particularité à tous les deux– ne me demandez pas de l’expliquer, j’ai compris que dalle – ils étaient plats. Plats comme une assiette creuse, plats comme une feuille de papier, plats comme mon encéphalogramme à venir pour dans pas si longtemps ? Va deviner – on est de toute évidence dans un délire scientifique, pourquoi ne pas rêver ?
V’là encore une et plus dure à mâcher celle-là : même pas nouvelle mais dotée d’un mystérieux pouvoir : tenez vous bien il existerait plusieurs univers (pourquoi pas ? allons- y, distribution de rêves) coexistant en parallèle. Pacifiquement ? Les savants émetteurs sont là-dessus motus et bouche collée à la super glue !
Moi l’idée de ces univers qui tournoient autour me plaît bien. Il y a donc une minuscule chance, quand on quitte un que notre ange gardien regarde ailleurs juste un seconde pour nous donner la chance de sauter dans un autre (d’univers). Moyen de trompe-la-mort ? Rigolez, rigolez, vous serez rattrapés un jour par l’insupportable angoisse de la séparation (pour moi la mort c’est cela : une désagrégation absolument définitive dans un hurlement silencieux et tragique) et ce jour là mes compagnons d’infortune vous serez peinards de tomber par hasard sur un autre environnement que le classique qu’on nous réserve dans ces cas là.
Je sais, je sais, la réincarnation, le jugement dernier, le paradis (où on raconte que pullulent les vierges, je me demande d'où elles viennent et comment elles ont fait ce choix) ont mâché des rêves semblables jusqu’à présent non confirmés. Il est urgent de clarifier ces dilemmes, mon départ n’est pas si éloigné que je l’envisageais à 20 ans et celui de ma mère encore moins . Mais de ça je ne peux parler, mon cœur s’arrête et mon cerveau bouillonne. Et je me rends compte, pas idiote à ce point, qu’au moins une partie de moi l’accompagnera où qu’elle aille. Univers parallèle, Paradis ou petite boîte mise en terre sanctifiée. Vers un meilleur ? Vers un pire ? Vers le néant ? Je supporterais l’obscurité mais pas le froid. Ni la solitude, surtout si c’est pour l’éternité. Espérons qu’au dernier moment cela va s’arranger. Ou du moins on nous laissera le choix…Gai tout cela, non ?
Il paraît que de nouvelles théories pointent leur bout de science-fiction : le Bang fut provoqué par l’entrechoc de deux univers. Leur particularité à tous les deux– ne me demandez pas de l’expliquer, j’ai compris que dalle – ils étaient plats. Plats comme une assiette creuse, plats comme une feuille de papier, plats comme mon encéphalogramme à venir pour dans pas si longtemps ? Va deviner – on est de toute évidence dans un délire scientifique, pourquoi ne pas rêver ?
V’là encore une et plus dure à mâcher celle-là : même pas nouvelle mais dotée d’un mystérieux pouvoir : tenez vous bien il existerait plusieurs univers (pourquoi pas ? allons- y, distribution de rêves) coexistant en parallèle. Pacifiquement ? Les savants émetteurs sont là-dessus motus et bouche collée à la super glue !
Moi l’idée de ces univers qui tournoient autour me plaît bien. Il y a donc une minuscule chance, quand on quitte un que notre ange gardien regarde ailleurs juste un seconde pour nous donner la chance de sauter dans un autre (d’univers). Moyen de trompe-la-mort ? Rigolez, rigolez, vous serez rattrapés un jour par l’insupportable angoisse de la séparation (pour moi la mort c’est cela : une désagrégation absolument définitive dans un hurlement silencieux et tragique) et ce jour là mes compagnons d’infortune vous serez peinards de tomber par hasard sur un autre environnement que le classique qu’on nous réserve dans ces cas là.
Je sais, je sais, la réincarnation, le jugement dernier, le paradis (où on raconte que pullulent les vierges, je me demande d'où elles viennent et comment elles ont fait ce choix) ont mâché des rêves semblables jusqu’à présent non confirmés. Il est urgent de clarifier ces dilemmes, mon départ n’est pas si éloigné que je l’envisageais à 20 ans et celui de ma mère encore moins . Mais de ça je ne peux parler, mon cœur s’arrête et mon cerveau bouillonne. Et je me rends compte, pas idiote à ce point, qu’au moins une partie de moi l’accompagnera où qu’elle aille. Univers parallèle, Paradis ou petite boîte mise en terre sanctifiée. Vers un meilleur ? Vers un pire ? Vers le néant ? Je supporterais l’obscurité mais pas le froid. Ni la solitude, surtout si c’est pour l’éternité. Espérons qu’au dernier moment cela va s’arranger. Ou du moins on nous laissera le choix…Gai tout cela, non ?
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Tout et son contraire
Le 06/02/2015
Une émission tv à la gloire d'un philosophe. Formidable, finalement on a un être pensant à regarder, écouter, éventuellement admirer. Ras le bol des mêmes hommes politiques, journalistes « conventionnés » et compagnie ! Mais il y a un hic, le philosophe en question c'est Michel Onfray. Quel personnage !
Côté face : un des rares - philosophes ou manants - qui vit ce qu'il pense. Du moins il essaye. Se dit hédoniste, veut sincèrement partager. Quoi ? Mais la vie parbleu ! Et dans la foulée si possible devenir un maître à penser. Sans peur et sans reproche il bouscule les idées des autres. Cela ne fait pas mal de secouer de temps en temps le cocotier.
Côté pile : son discours truffé à tout bout de champ de citations (Démocrite, Nietzsche, etc. Je saute par-dessus son athéisme, trop appuyé pour ne pas être suspect). Pour vous rapetisser ? Vous rendre honteux de votre ignorance ? En effet, on a eu beau feuilleter un millième de ce qu’il met en exergue on ne peut se souvenir ad hoc de tout cet étalage… Donc humilier l’adversaire, l’écoutant, le simple mortel ? C’est de bonne guerre après tout. Mais ce qui est vraiment insupportable c’est le côté « je suis d’un milieu pauvre donc forcément de gauche ». Je m’explique : avoir été fils d’agriculteur est parfaitement honorable, remarquable même, d’accord. Cela vous garantit des vérités premières. Mais cela n’est pas un mérite en soi. C’est un destin, c’est tout. On fait avec.On y reste ou on s'évade. Cela ne donne pas implicitement des copains soixante-huitards ayant à l'époque des idées symphatiques ou farfelues, plus rarement dangereuses. Qui – les copains en question – ont bien fini encrés dans l’establishment ! Il doit se douter de quelques incohérences parce qu’il est toujours là où on ne l’attend pas. Il le fait trop systématiquement pour ne pas l’avoir cherché. Ni gauche traditionnelle – tant est qu’on connaisse ce que cela veut dire – ni Dieu l’en préserve, anarchiste ! Pour la faire brève il veut être « populo ». Tout en goûtant à la bonne chair ! Qui n’est pas donnée que je sache !
Bon, soyons magnanime ! On n’est pas tous que nous sommes à une contradiction près ! Donc, Monsieur le Philosophe, chapeau ! On ne vous suivra pas toujours sur vos chemins de travers mais on peut vous saluer au passage, cela ne mange pas de pain !
Côté face : un des rares - philosophes ou manants - qui vit ce qu'il pense. Du moins il essaye. Se dit hédoniste, veut sincèrement partager. Quoi ? Mais la vie parbleu ! Et dans la foulée si possible devenir un maître à penser. Sans peur et sans reproche il bouscule les idées des autres. Cela ne fait pas mal de secouer de temps en temps le cocotier.
Côté pile : son discours truffé à tout bout de champ de citations (Démocrite, Nietzsche, etc. Je saute par-dessus son athéisme, trop appuyé pour ne pas être suspect). Pour vous rapetisser ? Vous rendre honteux de votre ignorance ? En effet, on a eu beau feuilleter un millième de ce qu’il met en exergue on ne peut se souvenir ad hoc de tout cet étalage… Donc humilier l’adversaire, l’écoutant, le simple mortel ? C’est de bonne guerre après tout. Mais ce qui est vraiment insupportable c’est le côté « je suis d’un milieu pauvre donc forcément de gauche ». Je m’explique : avoir été fils d’agriculteur est parfaitement honorable, remarquable même, d’accord. Cela vous garantit des vérités premières. Mais cela n’est pas un mérite en soi. C’est un destin, c’est tout. On fait avec.On y reste ou on s'évade. Cela ne donne pas implicitement des copains soixante-huitards ayant à l'époque des idées symphatiques ou farfelues, plus rarement dangereuses. Qui – les copains en question – ont bien fini encrés dans l’establishment ! Il doit se douter de quelques incohérences parce qu’il est toujours là où on ne l’attend pas. Il le fait trop systématiquement pour ne pas l’avoir cherché. Ni gauche traditionnelle – tant est qu’on connaisse ce que cela veut dire – ni Dieu l’en préserve, anarchiste ! Pour la faire brève il veut être « populo ». Tout en goûtant à la bonne chair ! Qui n’est pas donnée que je sache !
Bon, soyons magnanime ! On n’est pas tous que nous sommes à une contradiction près ! Donc, Monsieur le Philosophe, chapeau ! On ne vous suivra pas toujours sur vos chemins de travers mais on peut vous saluer au passage, cela ne mange pas de pain !
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