anastasia
Un monde quasi parfait
Le 22/05/2016
C'est le monde de la Musique. Dit un de mes idoles : Murray Perahia. Il a dû se sentir récompensé pour tous malheurs et bonheurs qu'il a eu dans sa vie par l'accès privilégié qu'il s'est ouvert dans cet Univers singulier. Un univers qui nous console d'à peu près tout. Il a sa part de gloire éternelle du moins j'y compte. Je vous conseille vivement de vous en approcher. Toucher le Divin n'est pas chose courante. A moins de la chercher par tous les moyens.
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Bravo !
Le 22/05/2016
On fait tout pour nous rendre encore plus malheureux... L'âge, son outrage et son iniquité.... On ne vieillit pas de la même façon...On traîne chacun d'autres baluchons de nos enfances heureuses ou meurtries...On a de la chance ou pas, c'est selon... Et que dire de ce qu'on voit, entend et subit tout le long de notre petitesse de vie... On n'est pas tous nés Mozart...c'est ainsi.
Oui, on sait que Mozart en a bavé mais du haut de son destin touchant le Divin il a dû sentir que l'Éternité lui était destinée. Enfin l'Éternité ainsi qu'on la conçoit. Le Présent est encore plus effrayant...
Vous savez quoi ? je dis Bravo à nous tous qui sans broncher nous continuons le fil tissé par les Parques.
Oui, on sait que Mozart en a bavé mais du haut de son destin touchant le Divin il a dû sentir que l'Éternité lui était destinée. Enfin l'Éternité ainsi qu'on la conçoit. Le Présent est encore plus effrayant...
Vous savez quoi ? je dis Bravo à nous tous qui sans broncher nous continuons le fil tissé par les Parques.
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Cannes c'est fini
Le 22/05/2016
N'ayez pas peur. Ce n'est pas Cannes, c'est moi ! En regardant les Palmes d'aujourd'hui j'ai bien assimilé une chose : le cinéma n'est plus un moyen de divertissement, c'est une tribune. Rien contre, mais il y en a tellement... C'était, enfin il y a quelque temps déjà, un lieu pour rêver. Le rêve c'est out of fashion. Ce qu'on nous sert c'est la réalité toute crue au cas ou vous l'aurez pas encore subie, remarquée, acceptée. Ras le bol pour ma part. Je décroche. Plein les mirettes de ce que je vois, vis et subis tous les jours. Je voudrais un brin de rêve même si c'est pour des prunes. Heureusement il y a la télécommande. Donc je zappe. Vous, vous faites ce que vous voulez. On est dans une démocratie, n'est-ce pas ?
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Dr.Russell & Mr. Crowe
Le 16/05/2016
Oui, je sais, je sais et j'assume, je ne peux m'empêcher de jeter un oeil de midinette au Festival de Cannes qui bouillonne depuis deux-trois jours déjà. Mes yeux embués d'émotion je tombe finalement ! sur une de mes faiblesses : Monsieur Russell Crowe himself ! Conférence de presse et bonus Ryan Gossling himself aussi ! De quoi tomber raide mes filles !
Et pourtant, quand ils l'ouvre (la bouche) ces Messieurs sont d'une banalité à augmenter - si encore c'est possible - mon amour pour les chiens.
Un gentil - faut l'admettre un peu naïf - journaliste européen ose demander à Russell s'il travaille d'après la méthode de Stanislavsky... Malheur, où est-t-il allé chercher cela ? Un vrai gentleman ce Crowe ! Tout en finesse il répond gonflé d'ironie jusqu'à ras-bord qu'il n'a jamais entendu parler de ce Stanislavsky, qu'il fait du Russell Crowe et basta ! On l'a remarqué Monsieur ! Vous faites du pognon avec votre propre talent ! Et dernièrement beaucoup de navets aussi ! Avec les mêmes trucs, faut dire vos trucs à vous ! Vous n'avez pas fait école encore, mais cela viendra.
Malin Ryan, il se tait presque tout le temps, se contentant de regarder à droite et à gauche comme s'il se sentait appelé ailleurs !
Alors les gars, bon retour au tiroir-caisse ! Moi, je me suis trouvée d'autres icônes ! Vous faites trop vieux pour moi ! Ha ! Ha !
Et pourtant, quand ils l'ouvre (la bouche) ces Messieurs sont d'une banalité à augmenter - si encore c'est possible - mon amour pour les chiens.
Un gentil - faut l'admettre un peu naïf - journaliste européen ose demander à Russell s'il travaille d'après la méthode de Stanislavsky... Malheur, où est-t-il allé chercher cela ? Un vrai gentleman ce Crowe ! Tout en finesse il répond gonflé d'ironie jusqu'à ras-bord qu'il n'a jamais entendu parler de ce Stanislavsky, qu'il fait du Russell Crowe et basta ! On l'a remarqué Monsieur ! Vous faites du pognon avec votre propre talent ! Et dernièrement beaucoup de navets aussi ! Avec les mêmes trucs, faut dire vos trucs à vous ! Vous n'avez pas fait école encore, mais cela viendra.
Malin Ryan, il se tait presque tout le temps, se contentant de regarder à droite et à gauche comme s'il se sentait appelé ailleurs !
Alors les gars, bon retour au tiroir-caisse ! Moi, je me suis trouvée d'autres icônes ! Vous faites trop vieux pour moi ! Ha ! Ha !
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Boomerangul copilariei -
Le 16/05/2016
Nu mai îmi amintesc cand am încetat sa fiu nefericita în copilarie. Unii ar spune târziu ! altii, nu e grav, se uita...
Desigur. Dovada ca si eu am uitat.
Je ne me rappelle pas quand j’ai cessé d’être malheureuse dans mon enfance. Cela ne devait pas être grave puisque ma mémoire n’en a gardé trace. Ou si peu…
Phénomène curieux, avec l’âge l’enfance vous revient comme un boomerang. Les explications physiologiques n’ont – en tout cas pour moi – aucun intérêt. Je le reçois en pleine bouille, d’abord étonnée, ensuite heureuse du visiteur inattendu.
Ce que je vais faire avec, on verra plus tard ou on ne verra point. Mais ils sont là mes années bébé et je commence à mieux comprendre pourquoi j’aime ou je déteste le présent. Me voilà renseignée !
Parée pour le meilleur et pour le pire ? Reste à voir.
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