anastasia
Par ici la sortie ?
Le 03/01/2017
De plus en plus je me sens poussée vers je ne sais quel trou noir.... Pas virtuel pour un kopeck, si je ne le vois pas encore, je sens son courant d'air comme si quelqu'un avait laissé la porte du frigo ouverte...
Ce qui est drôle c'est que je n'ai aucunement envie de résister, CELA ME PARAÎT KIF KIF si je vais m'y engouffrer ou pas.
C'est l'hiver ma chère, rien ne pousse ni ne fleurit... Je vous avoue quand même, j'en ai marre de cette attente. A force de redouter une perte imminente elle va finir par m'avoir. La Faucheuse. Bah, un jour ou l' autre, c'est tout aussi bien.
Ce qui est drôle c'est que je n'ai aucunement envie de résister, CELA ME PARAÎT KIF KIF si je vais m'y engouffrer ou pas.
C'est l'hiver ma chère, rien ne pousse ni ne fleurit... Je vous avoue quand même, j'en ai marre de cette attente. A force de redouter une perte imminente elle va finir par m'avoir. La Faucheuse. Bah, un jour ou l' autre, c'est tout aussi bien.
Commentaires textes : Écrire
Sagesse populaire
Le 02/01/2017
Le peuple roumain en a vu de toutes les bannières le long de son histoire, longue ou courte , selon ce qu'on a envie de compter : les clans, la nation, les régions, que sais-je encore.
Cela a fleuri l'imaginaire, la langue et subsidiairement la gastronomie. Ce qui me vient à l'esprit aujourd'hui c'est un dicton nourri d'une vieille et longue expérience : où il y a le turc il y a aussi le pistolet ! Évidemment nos héros mythiques ont guerroyé souvent avec succès - temporaire il est vrai - contre le sus nommé mais le souvenir des armes est tenace. D'où le dicton...Qui a su survoler les siècles et notre histoire.
Je me demande donc sans aucun à priori, de nos jours, le pistolet serait-t-il disparu des usances ? Ou alors le peuple turc est en train de subir notre présent à tous pas si fraternel que ça ? On attaque tous azimuts des gens pointés par le hasard ?
Je sais, je joue de la naïveté comme du pipeau sans but, bêtement. Drôle d'époque, mais pour y vivre pas drôle du tout. Néanmoins on va s' en sortir. Par la petite porte ?
Bonne Année !
Cela a fleuri l'imaginaire, la langue et subsidiairement la gastronomie. Ce qui me vient à l'esprit aujourd'hui c'est un dicton nourri d'une vieille et longue expérience : où il y a le turc il y a aussi le pistolet ! Évidemment nos héros mythiques ont guerroyé souvent avec succès - temporaire il est vrai - contre le sus nommé mais le souvenir des armes est tenace. D'où le dicton...Qui a su survoler les siècles et notre histoire.
Je me demande donc sans aucun à priori, de nos jours, le pistolet serait-t-il disparu des usances ? Ou alors le peuple turc est en train de subir notre présent à tous pas si fraternel que ça ? On attaque tous azimuts des gens pointés par le hasard ?
Je sais, je joue de la naïveté comme du pipeau sans but, bêtement. Drôle d'époque, mais pour y vivre pas drôle du tout. Néanmoins on va s' en sortir. Par la petite porte ?
Bonne Année !
Commentaires textes : Écrire
On prend les mêmes et on recommence
Le 01/01/2017
Cela fait une heure et des poussières que 2017 est partie vivre sa vie. Elle ne sera pas longue, un petit tour de 365 jours, une misère ! Pourquoi je ne peux pas me défaire du "déjà vu" ?
Commentaires textes : Écrire
Pied de nez contre Pieds Nickelés
Le 31/12/2016
Passons du regard nombriliste au regard du faucon, enfin j'exagère et pas mal !!! Mais dans toute ma tristesse et mon désarroi, je ne puis m'empêcher de jeter un oeil négligeant sur la planète. C'est vrai on n'est pas encore dans le crachat diplomatique, avouez tout de même on n'en est pas loin ! Et que je te vire tes "éclaireurs", et que moi je te regarde par le petit bout de la lorgnette, tout cela ne vous semble pas un peu puéril ?
Oh, je sais, il y a des sous entendus aux sous entendus, des gestes codés, des pensées retors dont le monde diplomatique a les clefs.... Mais nous on a les yeux aguerris, les neurones sportifs et entraînés, nos sourires narquois et nos bulletins de vote ! N'est-ce pas ? C'est vrai, pour ce que cela serve....
Et puis zut alors ! Mon nombril a plein d'ennuis à gérer, mon coeur doit absolument sonner le rassemblement des pensées positives et mon corps à tenir le coup coûte que coûte. "Ils" peuvent se démerder tous seuls, les grands de ce monde à jouer à la roulette. Russe ?
Oh, je sais, il y a des sous entendus aux sous entendus, des gestes codés, des pensées retors dont le monde diplomatique a les clefs.... Mais nous on a les yeux aguerris, les neurones sportifs et entraînés, nos sourires narquois et nos bulletins de vote ! N'est-ce pas ? C'est vrai, pour ce que cela serve....
Et puis zut alors ! Mon nombril a plein d'ennuis à gérer, mon coeur doit absolument sonner le rassemblement des pensées positives et mon corps à tenir le coup coûte que coûte. "Ils" peuvent se démerder tous seuls, les grands de ce monde à jouer à la roulette. Russe ?
Commentaires textes : Écrire
La maladie comme une insulte
Le 30/12/2016
Je la ressens comme ça, que voulez-vous ?! Des moyens, déjà pas très grands, coupés de moitié, humeur massacrante et je ne me prive pas de le faire savoir, avoir la sensation d'une injustice abyssale, ce n'est pas assez ?
Désolée pour les unhappy few qui daignent lire ces lignes pauvres en tout, intérêt et style compris. Mon cerveau en panne sèche. Pleine la besace à motifs, vide ma capacité de stockage de bons sentiments. Je ne perçois que la douleur, atroce celle-la d'une fin imminente, irrémédiable pas acceptable pour autant.
Renifler la mort qui guette ma génitrice me paralyse, me ronge, c'est inouï comme c'est féroce et banal en même temps. ...
On resiste mais pas avec noblesse. Pour avoir déjà assistée à ce spectacle macabre je peux vous affirmer que de noblesse j'en ai vu point. Sauf une fois, encore lui, chez mon père. Mais lui cela on le savait de son vivant, c'était un Saint.
Désolée pour les unhappy few qui daignent lire ces lignes pauvres en tout, intérêt et style compris. Mon cerveau en panne sèche. Pleine la besace à motifs, vide ma capacité de stockage de bons sentiments. Je ne perçois que la douleur, atroce celle-la d'une fin imminente, irrémédiable pas acceptable pour autant.
Renifler la mort qui guette ma génitrice me paralyse, me ronge, c'est inouï comme c'est féroce et banal en même temps. ...
On resiste mais pas avec noblesse. Pour avoir déjà assistée à ce spectacle macabre je peux vous affirmer que de noblesse j'en ai vu point. Sauf une fois, encore lui, chez mon père. Mais lui cela on le savait de son vivant, c'était un Saint.
Commentaires textes : Écrire