anastasia
Sans protection
Le 31/10/2017
Je commence à percevoir de plus en plus mon avenir, disons immédiat. Peut-être que les épreuves à venir sont le paravent qui cache celle qui m'a mis k.o. La chimie aidant, j'avance vaille que vaille mais je trébuche à chaque pas....
De toute évidence je suis faible quand d'autres ( par politesse) me croient seulement affaiblie.
Tout autour ce n'est pas mieux. Cela ne me console guère, pétrifiée je me sens, à l'antichambre du néant. Décidément, même diminuée jusqu'à l'os, je me prends pour le centre du monde
De toute évidence je suis faible quand d'autres ( par politesse) me croient seulement affaiblie.
Tout autour ce n'est pas mieux. Cela ne me console guère, pétrifiée je me sens, à l'antichambre du néant. Décidément, même diminuée jusqu'à l'os, je me prends pour le centre du monde
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Passent les jours. ...
Le 05/10/2017
Et les heures, pourtant je demeure....
C'est drôle comme la douleur change de couleur, de consistance.... Du noir je glisse involontairement vers le gris. Il est sombre, creusant mon coeur avec des sillions saignant le désespoir, mais les jours passent, je demeure. ...
L'absence puisqu'elle est définitive, inguerrissable, autant l'apprivoiser....
Comme si c'était possible....
C'est drôle comme la douleur change de couleur, de consistance.... Du noir je glisse involontairement vers le gris. Il est sombre, creusant mon coeur avec des sillions saignant le désespoir, mais les jours passent, je demeure. ...
L'absence puisqu'elle est définitive, inguerrissable, autant l'apprivoiser....
Comme si c'était possible....
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Iertare
Le 28/09/2017
Vine totdeana prea târziu.... Cer iertare fãrã speranta. Acum exact trei saptamâni mai aveai o orã de viata si nu am facut nimic. Mi s-a parut o seara ca toate celelalte, te-am lasat singura in camera ta cu ingerul care venise probabil sa te ia. L-ai simtit oare? Ti-a fost frica ? Nu voi sti niciodata.Dar simt ca trebuia sa fiu acolo sa te tin de mana si sa te mint ca va fi o noapte ca oricare alta si ca dimineata ma vei primi cu zambetul tau trist, strâmbat de durerile devenite calvar. Si ca totul va continua la nesfarsit pana ne vom topi amandoua.
Acum plang zadarnic, nici nu stiu daca ti-ar fi fost pe plac.... un gol, ce zic, un hãu vad si atata tot.
Continui sa respir, sa merg, sa vorbesc cu unii si altii, ba am impresia ca pot construi o alta viata, a mea. Ce iluzie...
Cer iertare. Nici sa respir nu mai pot. Deocamdata zic unii... Tu ai sa stii. Eu am paralizat cu lacrima lunecand pe obraz.
Acum plang zadarnic, nici nu stiu daca ti-ar fi fost pe plac.... un gol, ce zic, un hãu vad si atata tot.
Continui sa respir, sa merg, sa vorbesc cu unii si altii, ba am impresia ca pot construi o alta viata, a mea. Ce iluzie...
Cer iertare. Nici sa respir nu mai pot. Deocamdata zic unii... Tu ai sa stii. Eu am paralizat cu lacrima lunecand pe obraz.
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Pourquoi ?
Le 26/09/2017
Avoir en partant fermé ton parapluie protecteur ? Depuis que tu es - seul Dieu sait où - sur moi tombent toutes les malédictions : le feu et la glace, les sauterelles et les serpents, les murs perdent solidité et sens, les mots sonnent creux.
Pas de répit salvateur, la tête n'est jamais hors de l'eau... Il m'est donné de me noyer si vite ? C'est un peu tôt ou tard... mais pas le moment. Le temps venu, je le saurai, tu me feras signe, vrai ?
Pas de répit salvateur, la tête n'est jamais hors de l'eau... Il m'est donné de me noyer si vite ? C'est un peu tôt ou tard... mais pas le moment. Le temps venu, je le saurai, tu me feras signe, vrai ?
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Pas prête...
Le 22/09/2017
pour la séparation... pas prête pour admettre que je suis moi, entière, unique et solitaire...
Parfois un éclair m'illumine la réalité. Cela tient à un rien, un objet que je continue de croire sien tout en sachant que la loi napoléonienne me l'a attribuée ilico, un parfum, un flash des souvenirs lointains....
Mais non, cela je le rejette entièrement. Je la porte avec moi, elle est ici, son ADN est partout, non ? Vivante, à côté,
Cela sera ainsi jusqu'à ma fin. Il n'y a pas de place libre.
Autrement c'est invivable.
Parfois un éclair m'illumine la réalité. Cela tient à un rien, un objet que je continue de croire sien tout en sachant que la loi napoléonienne me l'a attribuée ilico, un parfum, un flash des souvenirs lointains....
Mais non, cela je le rejette entièrement. Je la porte avec moi, elle est ici, son ADN est partout, non ? Vivante, à côté,
Cela sera ainsi jusqu'à ma fin. Il n'y a pas de place libre.
Autrement c'est invivable.
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